Parler de son enfant à quelqu’un qui n’en a pas
Parler de son enfant à quelqu’un qui n’en a pas
Vous ne l’avez pas demandé, mais le voici : le guide express pour parler de votre progéniture à des amis qui n’ont pas encore eu ou n’auront jamais la piqûre parentale. Parce que, spoiler alert : ce n’est pas tout le monde qui veut entendre des récits épiques de régurgitations et de chaussettes qui disparaissent.
Première chose à savoir : le mot « bébé », pour certains, ça a le même effet qu’un « Avada Kedavra » (oui, la référence à Voldemort est volontaire). Dès que le mot « couche » est prononcé, ça y est, les non-parents cherchent déjà la sortie. Voyez-les un peu comme vous quand ils vous parlent de leur jardin de fines herbes en pot : l’intérêt est… limité.
Maintenant, est-ce que ça veut dire que vous devez évacuer toute mention de votre mini-vous comme un sombre secret de famille? Pas forcément. Mais voici quelques petites règles de base, question de ne pas perdre tous vos amis dans le processus.
- Le chiffre magique : 11. Quand vous dites l’âge de votre enfant, arrêtez-vous à 11 mois. Oui, à partir de 12 mois, c’est permis de dire « un an ». Parce que « 47 mois », ça donne juste l’impression que vous essayez de nous faire passer un test de maths.
- Le verre de vin numéro 3. C’est la limite où votre bouche va vouloir tout raconter. Parce qu’après trois verres, c’est là que vous commencez à raconter le premier caca de bébé comme si c’était une victoire de la Coupe Stanley. Respectez le three drink max.
- La proportion de 4 %. En résumé : dosez. Si vous dépassez ce seuil de 4 % de conversation « bébé », vos amis risquent de vous le rappeler subtilement. Ou de s’en rappeler en ne vous rappelant plus.
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Votre petit.e coule du nez comme un robinet mais vous avez un souper prévu avec votre voisine Henriette. Que faire?
Entre les crises qu’on essaie de contrôler et le manque de sommeil, ça fait beaucoup!
Il y a des règles à suivre pour minimiser l’impact sur les autres parents (et les autres enfants… et les éducatrices). Les voici.
Comment bien s’obstiner avec son enfant ?
Conclusion : parfois, vaut mieux lâcher le morceau pour ne pas perdre la tête.
En théorie, c’est une idée charmante. En pratique, ça peut vite virer au cauchemar.
À quel moment on doit arrêter ça? Et surtout, quand est-ce qu’on tape sur les nerfs des autres adultes?
Pour survivre à cette forme particulière de torture parentale, il suffit parfois d’un peu de patience… et de skills sociaux bien développés.
Le parc est un terrain de jeux pour enfants… et un maudit bon défi de small talk pour les parents.
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