Aller chercher ses enfants à la garderie
Aller chercher ses enfants à la garderie
Aller chercher son enfant à la garderie, ça peut sembler simple, mais Tatiana Polevoy a quelques règles pour vous éviter de vous transformer en parent « awkward » ou en champion du malentendu. Voici donc ses conseils pour un ramassage efficace – et, idéalement, sans gaffes.
1. S’assurer que quelqu’un ramasse l’enfant
Première règle, et non la moindre : ramasser son enfant. Vous pensez que ça va de soi? Eh bien, attendez-vous à vivre un moment où ni vous ni l’autre parent n’avez prévu le coup, et où vous trouverez votre petit Adrien dans la pénombre à 18h30, avec une éducatrice un peu fâchée. Bref, chaque matin, prenez le temps de confirmer qui fait le ramassage.
2. Faire du pick-up un « pit stop » efficace
Au pick-up, l’idée, c’est d’être rapide. Limitez les questions, et surtout, ne vous lancez pas dans un bilan complet de la journée. Une question bien choisie, ça suffit amplement. Pendant que l’éducatrice répond, habillez votre enfant. Efficace, droit au but : hop, vous voilà repartis.
3. Limiter les conversations post-garderie
Une fois dehors, laissez l’éducatrice partir tranquillement sans l’assaillir d’autres questions. Elle aussi a sa journée dans le corps et a hâte d’arriver chez elle. Un sourire, un signe de la main, et hop, vous êtes en route.
4. Prévoyez une collation de secours
Rien de pire que le retour de garderie avec un enfant affamé et grognon. Gardez toujours une collation dans votre sac ou la voiture. Les raisins secs, les biscuits secs, n’importe quoi pour calmer les crises (et sauver vos tympans).
5. Transformez le trajet en moment de détente
Profitez du trajet retour pour créer un moment calme en évitant les conversations complexes. Une petite musique douce ou une histoire audio peut faire des miracles pour assurer la transition entre l’agitation de la garderie au calme de la maison.
6. Ayez un plan « SOS pipi »
Juste avant de quitter la garderie, proposez un petit détour aux toilettes. Ça évite les urgences pressantes et inconfortables dans la voiture. C’est simple, mais ça évite des drames.
Encore plus de « La petite étiquette »
Votre petit.e coule du nez comme un robinet mais vous avez un souper prévu avec votre voisine Henriette. Que faire?
Entre les crises qu’on essaie de contrôler et le manque de sommeil, ça fait beaucoup!
Comment bien s’obstiner avec son enfant ?
Conclusion : parfois, vaut mieux lâcher le morceau pour ne pas perdre la tête.
En théorie, c’est une idée charmante. En pratique, ça peut vite virer au cauchemar.
Parler de son enfant à quelqu’un qui n’en a pas
Bébé ici, bébé par-là? Quand faut-il arrêter de parler de son enfant?
À quel moment on doit arrêter ça? Et surtout, quand est-ce qu’on tape sur les nerfs des autres adultes?
Pour survivre à cette forme particulière de torture parentale, il suffit parfois d’un peu de patience… et de skills sociaux bien développés.
Le parc est un terrain de jeux pour enfants… et un maudit bon défi de small talk pour les parents.
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