Comment prendre l’avion avec son enfant
Prendre l’avion avec un enfant, c’est un peu comme une chasse au trésor où le but est de survivre aux cris, aux crises, et d’espérer quelques minutes de tranquillité dans les airs. Même avec la meilleure préparation mentale, vous n’êtes jamais vraiment prêts.
Quand la fille de Tatiana Polevoy avait neuf mois, son conjoint et elle ont décidé de l’emmener en vacances à l’Île-du-Prince-Édouard. Rien de spectaculaire? Attendez. Ils savaient que le road trip de 16 heures n’allait pas faire l’unanimité sur le siège arrière, donc ils se sont résolus à prendre l’avion. Ce qu’ils ignoraient, c’est que leur mini n’était pas vraiment plus fan de la cabine pressurisée.
Après plusieurs erreurs (et crises), voici ce qu’ils conseillent aux autres parents. D’abord, crachez le cash pour réserver des sièges situés les uns à côté des autres. Se retrouver à l’autre bout de l’avion pendant que votre mini fait une crise, c’est un scénario à éviter. Même s’il a moins de deux ans et pourrait voyager gratuitement sur vos genoux, payez-lui son propre siège – vous vous remercierez plus tard.
Ensuite, optez pour un vol sans escale. Oui, ça coûte plus cher, mais c’est votre paix d’esprit qui est en jeu, ici. Et en cas de crise imminente, soyez sympas : si votre enfant commence à se faire aller les cordes vocales, pensez à offrir un gin tonic à vos voisins de siège.
Enfin, pensez Goldfish. Ces petits craquelins à saveur de fromage et autres sont les sauveurs de crise par excellence. Gardez-en dans des Ziplocs, des Tupperwares, même dans vos poches. Un enfant affamé ne fait pas de cadeaux, mais un Goldfish bien placé peut tout changer.
Encore plus de « La petite étiquette parentale »
Votre petit.e coule du nez comme un robinet, mais vous avez un souper prévu avec votre voisine Henriette. Que faire?
Il y a des règles à suivre pour minimiser l’impact sur les autres parents (et les autres enfants… et les éducatrices). Les voici.
Conclusion : parfois, vaut mieux lâcher le morceau pour ne pas perdre la tête.
En théorie, c’est une idée charmante. En pratique, ça peut vite virer au cauchemar.
Parler de son enfant à quelqu’un qui n’en a pas
Bébé ici, bébé par-là? Quand devez-vous arrêter de parler de votre enfant?
À quel moment on doit arrêter ça? Et surtout, quand est-ce qu’on tape sur les nerfs des autres adultes?
Pour survivre à cette forme particulière de torture parentale, il suffit parfois d’un peu de patience… et de skills sociaux bien développés.
Le parc est un terrain de jeux pour enfants… et un maudit bon défi de small talk pour les parents.
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