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5 dépenses inattendues lors de la première semaine d’école
Ah, la rentrée scolaire! Pour certains, c’est le temps des retrouvailles avec des camarades de classe exilés chez leurs parents en région durant l’été, pour d’autres, c’est enfin le temps de se remettre aux choses sérieuses afin de compléter son éducation au plus vite.
Mais pour tous, la rentrée scolaire cause toujours des dépenses imprévues. En voici cinq.
1— Les livres supplémentaires exigés par le prof (qui ne vous serviront même pas)
La première semaine d’école est toujours mollo. Chaque professeur ne fait que lire le plan de cours et présente un survol de la matière. En même temps, certains en profitent pour exiger l’achat de livres qui nous seront totalement inutiles.
Je dis inutile, mais je veux dire qu’ils ne serviront que pour une page ou deux seulement. Ce qui est plutôt dispendieux pour quelques paragraphes.
On aurait pris une photo de la seule page nécessaire, mais non, l’enseignant tient à ce qu’on l’ait dans nos mains comme un parent veut qu’on tienne son nouveau bébé.
D’après moi, ces professeurs reçoivent des redevances pour chaque livre vendu!
2— La bouffe inattendue
On retourne à l’école plein de bonnes intentions : on va faire notre lunch tous les jours et souper à la maison! Mais la rentrée vient chambouler nos plans. Certains cours finissent plus tôt que prévu et on se fait de nouveaux amis.
Alors on en profite pour aller souper avec notre nouvelle gang avant de crouler sous les examens. En début de session, on est encore remplis d’énergie et on considère la carte des desserts comme un « T’es pas game »!
On va finir par se calmer après avoir essayé quelques endroits près de notre école, mais d’ici là, on se bourre la face comme si on était Kirby dans Super Smash.
3— Les frais d’impressions
Bien que les nouvelles technologies soient de plus en plus implantées sur les campus, on ne se sauve pas encore complètement du papier. Il faut parfois imprimer des présentations, des devoirs ou photocopier des pages d’un livre de la bibliothèque.
Pour ces tâches, il faut passer par le centre d’impression ou la bibliothèque. Comme rien n’est gratuit dans la vie ou presque, on se retrouve à devoir débourser quelques dollars imprévus en impression.
Maintenant armé d’une tonne de papiers, vous pourrez battre ceux qui font roche.
4— Les frais pour devenir membre de la coop
Si j’avais les ailes d’un ange, je partirais pour Québec. Par contre, lorsqu’on n’a ni les ailes d’un ange ni le temps de sortir de notre établissement scolaire, on doit passer par la coop pour compléter nos achats.
Que ce soit pour un étui à crayon, une clé USB ou un paquet de gomme, on peut toujours se tourner vers la coop pour faire le plein. Sauf que c’est mieux d’être membre, car parfois ça vous fait payer moins cher et d’autres fois, c’est la seule façon d’acheter.
Après quelques dollars, les portes du magasin général nous sont ouvertes. Techniquement, on peut se faire rembourser ce montant à la fin de nos études, mais soyons francs, tout le monde oublie d’aller se le faire rembourser.
D’ailleurs, il faudrait bien que je retourne à mon cégep pour récupérer cet argent-là! J’en ai besoin!
5— L’initiation
Je recommande fortement à tous et toutes d’aller à ses initiations. C’est l’occasion rêvée de se faire des contacts puisque tout le monde est festif et dégêné sous l’alcool. Et les amis, c’est important pour passer ses études facilement.
L’initiation vient avec des frais cachés. Même si on ne boit pas, les costumes et autres humiliations engendrent des frais. Sinon, nos portefeuilles doivent se vider pour qu’on se remplisse d’alcool.
Et un lendemain d’initiation implique de devoir passer s’acheter un café pour rester réveillé malgré notre mal de tête.
Heureusement, avec un peu de préparation, la rentrée scolaire n’est plus synonyme de mauvaises surprises, mais que de pur plaisir!