Vox pop : Que pensez-vous des couples ouverts?
Et vous, qu’en pensez-vous des couples ouverts?
La Saint-Valentin approche à grands pas, et cette année, on s’est intéressés à un phénomène qui fait jaser : les couples ouverts. Si l’idée de l’exclusivité amoureuse reste encore la norme pour beaucoup, de plus en plus de gens explorent la non-monogamie. Mais est-ce vraiment une réalité à Montréal? On est descendus dans la rue pour le découvrir. Voici ce que les Montréalais avaient à dire.
Les bases du couple ouvert, selon la rue
Première question à nos cobayes urbains : « C’est quoi pour vous un couple ouvert? »
Réponses variées, mais une constante se dégage : la liberté d’aller voir ailleurs, sans cacher quoi que ce soit. « C’est, genre, des gens qui s’aiment et les boundaries sont très claires », explique une passante avec assurance. D’autres y vont avec des termes plus pratiques : « Des relations extraconjugales avec d’autres personnes, tout en restant en couple. » Simple, clair, efficace.
Mais est-ce que cette idée fait rêver? Pas tellement, à première vue. « Personnellement, je ne pourrais pas. Je ne serais pas capable de deal avec le fait qu’il y a d’autres personnes dans notre relation », confie un jeune homme. Une autre participante abonde dans le même sens : « Si je suis avec une personne, je ne veux être qu’avec elle. »
Cela dit, si les couples ouverts ne séduisent pas tout le monde, le jugement, lui, semble absent. « Je ne me verrais pas le faire, mais on n’est pas là pour juger ceux qui le font », souligne une autre. Finalement, un Montréalais conclut sur une note de tolérance : « Moi, je suis pour la liberté des gens. Qu’ils fassent ce qu’ils voudront. »
Pas juste de l’amour dans l’air
Alors que certains débattent des mérites (ou pas) de la non-monogamie, d’autres sont déjà en mode Saint-Valentin. Et là encore, les réponses sont aussi variées que des chocolats assortis.
Une jeune femme, micro à la main, lâche un clin d’œil à Miley Cyrus : « I could buy myself flowers! Donnez-moi mon Grammy, maintenant. » Un classique instantané. Pendant ce temps, un autre Montréalais s’apprête à célébrer… avec sa mère : « Je vais la sortir au resto, lui apporter des fleurs. » Qui a dit que la Saint-Valentin devait être réservée aux couples?
Et pour les amoureux? Les souhaits restent simples, mais pleins de sens. « Moi, je souhaite qu’on continue à s’aimer, à grandir ensemble et à s’entraider », déclare une passante avec tendresse. Un autre, un brin plus pragmatique : « D’être heureux, c’est tout. C’est suffisant. » Parfois, la simplicité, c’est ce qu’il y a de mieux.
Alors, ouverts ou pas?
En conclusion, si les couples ouverts suscitent curiosité et discussions, la majorité des gens qu’on a croisés semblent préférer la monogamie, ou du moins, la stabilité émotionnelle qu’elle offre. Mais une chose est sûre : les Montréalais ne manquent pas de tolérance, ni d’humour, pour aborder ces sujets.
Alors, cette Saint-Valentin, que vous soyez en couple fermé, ouvert, ou juste en train d’acheter des fleurs pour vous-même, rappelez-vous qu’il y a autant de façons d’aimer que de cœurs sur cette planète. Et ça, ça mérite bien un Grammy.
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