Vox pop : Est-ce que l’intelligence artificielle va voler nos jobs?
Vox pop : Est-ce que l’intelligence artificielle va voler nos jobs?
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Et vous, avez-vous peur que l’IA remplace votre job?
Un chiffre qui donne des sueurs froides : 60 % des jobs risquent d’être affectées par l’intelligence artificielle, selon le FMI. Mais qu’en pensent les vrais gens dans la vraie vie? Direction le centre-ville de Montréal pour un vox pop express. Attention, spoiler : on n’a pas trouvé de survivalistes anti-robots en panique.
« Non, pas peur pantoute »
Davos (on dit comment déjà, Davos?) peut bien lancer des prédictions catastrophiques, les Montréalais rencontrés ne semblent pas trop s’en faire. La majorité des répondants affichent un calme olympien face à la montée de l’IA.
« Absolument pas », lance un jeune cadre en marchant d’un pas pressé. « Moi, j’ai pas peur », rétorque une étudiante avec son latté réutilisable. Même les plus philosophiques y vont d’un optimisme mesuré : « On ne peut pas arrêter le progrès. C’est juste qu’il faut l’utiliser de la bonne façon », explique un homme en complet-cravate, avec une conviction qui ferait rougir Elon Musk.
Les jobs, les vraies
Un autre argument qui revient souvent : l’importance du facteur humain. « Il y a des gens qui ont besoin de contacts humains. Des fois, l’IA peut pas vraiment faire ça », précise une barista. Son sourire traduit peut-être un brin d’inquiétude, mais elle croit dur comme fer que certaines jobs ne peuvent tout simplement pas être remplacées. Les soignants, les enseignants ou les psys peuvent respirer un peu.
Un prof d’éducation physique a même trouvé le moyen de faire équipe avec la technologie : « Mettons, moi, j’écris : donne-moi des idées d’ateliers sportifs en basket-ball. » ChatGPT est son assistant personnel, jamais fatigué, toujours prêt à brainstormer.
« Un outil, pas un ennemi »
La clé, selon plusieurs passants? Apprendre à travailler avec l’IA, pas contre elle. « Si je peux apprendre à utiliser l’IA pour améliorer mes compétences, pourquoi pas? », dit une étudiante en marketing. « Elle peut nous aider à accomplir des tâches redondantes plus facilement », ajoute un autre.
Le sentiment général est donc clair : pas de panique, mais une bonne dose de curiosité. Quelques sceptiques mentionnent quand même, à demi-mot, une éventuelle apocalypse robotique. Mais d’ici là, « c’est juste un outil », conclut un dernier passant, avec un sourire en coin.
La fin du monde? Pas tout de suite
Malgré les prédictions du FMI et les alertes des gourous technos, l’intelligence artificielle ne semble pas hanter les nuits des Montréalais. Elle fascine, elle intrigue, mais elle ne fait pas peur. Pas encore, en tout cas.
D’ici à ce que les robots dominent la planète, les gens du centre-ville comptent bien s’en servir pour écrire leurs courriels ou organiser leurs ateliers de basket. Et qui sait, peut-être que même cette apocalypse-là aura besoin d’une petite touche humaine pour vraiment décoller.
Alors, ayez pas peur du changement. Et abonnez-vous! 💁♂️
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