Les secrets de skincare de l’équipe d’URBANIA!
« Toner », « hyaluronique », « crème solaire »… Ces mots magiques qui flottent dans l’air du bureau d’URBANIA depuis quelques mois. Laïma, curieuse autoproclamée de la « skincare », a décidé de creuser la question en posant LA grande interrogation à ses collègues : c’est quoi, votre routine de soins pour la peau ? Résultat : un vox pop coloré, où se mêlent routines minimalistes, dépenses faramineuses et même un peu de BeReal.
Savon à 5$ ou sérum à 1000$ ?
Première révélation du vox pop : chez URBANIA, le skincare divise. D’un côté, il y a les adeptes du fameux 5-en-1 Irish Spring, ce classique multi-usages qui lave la face, les cheveux et probablement l’âme. « Ça se limite à ça, mais ma peau est belle », clame fièrement un collègue. On ne peut pas contredire, son glow parle pour lui.
De l’autre côté, il y a ceux qui investissent dans leur peau. « Plus de 1000 $, selon Sephora », avoue une des employées, sans trembler. Entre les sérums à la caféine, l’acide « hyalu… hyaluchose » (ou hyaluronique, pour les intimes) et les crèmes hydratantes de luxe, certains ne comptent pas.
Mais pourquoi ? « Parce que j’ai la peau sensible », explique un collègue. Comme quoi, la sensibilité a un prix.
Tendances virales, lin et autres absurdités
Quand on parle skincare, impossible d’éviter les tendances TikTok et Instagram. Les fameux « sheet masks », par exemple, divisent l’équipe. « Super mauvais pour l’environnement », tranche une collègue. D’autres mentionnent des astuces maison, comme les graines de lin mixées en masque raffermissant. Problème : être allergique au lin ET au sarrasin, comme l’un des employés, limite un peu les options DIY.
Et pour ceux qui se demandent qui alimente la frénésie skincare, il y a une réponse toute trouvée : les jeunes. Une collègue raconte, mi-amusée mi-exaspérée, que sa fille de 12 ans, membre autoproclamée des « Sephora Kids », pourrait réciter toutes les tendances mieux qu’un algorithme.
Entre confiance et méditation
Au-delà des produits et des dépenses, ce qui ressort du vox pop, c’est que la skincare, c’est bien plus que se laver la face. « Je me sens rafraîchie », « ça me fait sentir comme une adulte responsable », ou encore « ça me donne confiance en moi », confient les employés. La routine devient une sorte de rituel, un moment à soi pour se reconnecter.
Pour d’autres, c’est aussi une affaire de transmission. « Je mets de la crème hydratante depuis que j’ai 12 ans. Props à ma mère », lance un collègue. Peut-être que la vraie clé du skincare, c’est d’avoir quelqu’un pour nous initier tôt ?
Conclusion : glow collectif
Chez URBANIA, le skincare, c’est une affaire de personnalité. Minimaliste ou maximaliste, Irish Spring ou vitamine C, tout le monde trouve sa recette pour garder sa peau – et son moral – au top. Comme quoi, prendre soin de soi, ça peut commencer par une bouteille de savon ou un flacon de sérum hors de prix.
Et vous, c’est quoi votre « skincare routine » ? 😉
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