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All night long
La nuit est jeune. C’est vendredi, vos hormones cherchent à se faire entendre et vous avez l’oreille facile. Même si rien n’est prévu au programme, c’est l’heure de faire le party.
Quand on se laisse porter par l’ambiance festive, l’insouciance nous entraîne souvent bien loin de notre lit douillet. D’ailleurs, les soirées les plus mémorables ne sont-elles pas celles qui ne sont pas planifiées ? Celles qu’on aborde sans autre but que de se dévisser la tête pour quelques heures quand nos chums nous appellent pour aller prendre une bière au bar du coin. Celles qui se concluent par un léger sentiment de gêne à inventer des excuses pour quitter l’inconnu(e) à l’haleine fétide qui dort à vos côtés…
Ce numéro d’Urbania se prend comme ça. Sans attente et sans détour. Il est parfois cru, souvent excessif, avec une bonne dose de cul comme stimulant. Nettement moins cérébral que les précé dents, mais tout aussi passionné. On dit de la modération qu’elle a bien meilleur goût. Dans ce cas-ci, elle n’est simplement pas de mise. Voici un magazine à ne pas déguster, mais plutôt à prendre comme une grande rasade de bière. Lisez-le d’une traite et on chantera tous en choeur : « Il est des nô-ô-ôtres, il a lu son mag comme les au-au-tres. »
Cheers !
L’équipe d’Urbania