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Réaliser ses rêves de carrière au Québec comme nouvel arrivant

Quand des programmes universitaires à distance te rapprochent de tes objectifs professionnels.

Par
Isabelle Langlois
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URBANIA et l’Université TÉLUQ s’unissent pour vous présenter l’inspirant parcours universitaire d’étudiantes immigrantes qui ont poursuivi leurs études à distance.

Ce n’est un secret pour personne, les nouveaux arrivants ont un lot de défis à surmonter lorsqu’ils commencent leur vie au Québec. Ils doivent rapidement s’intégrer au marché du travail et y faire valoir leurs compétences (en plus d’apprivoiser notre accent, nos poutines et nos hivers!). Ils peuvent alors se buter à un enjeu majeur : ne pas pouvoir s’épanouir dans leurs champs d’expertise en raison des problèmes de reconnaissance ici de diplômes obtenus à l’étranger.

Si vous vous reconnaissez dans cette situation frustrante, les témoignages suivants d’étudiantes immigrantes qui ont obtenu leur diplôme en suivant des cours à distance pourraient vous aider à voir la lumière au bout du tunnel.

Conciliation travail-famille-études et nouveau pays

Saredo Awaleh Ainan a quitté Djibouti pour le Québec avec deux ans d’université en poche. À son arrivée au pays, elle apprend par l’évaluation de reconnaissance des compétences que ses études correspondent à un diplôme d’études collégiales. Imaginez-vous sa déception (une annonce pas mal plus frustrante que la saison du CH).

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« J’ai été embêtée, avoue-t-elle. C’est la raison pour laquelle j’ai repris mes études en vue d’obtenir un baccalauréat. » Malgré cette embûche, la jeune maman ne se décourage pas. Elle oriente ses études pour suivre des cours complémentaires à son parcours amorcé en Afrique et ainsi ajouter des cordes à son arc.

Cependant, après quelques années à se rendre sur le campus pour ses cours, Saredo Awaleh déménage, ce qui complique son horaire déjà chargé puisqu’elle travaille à temps plein et doit s’occuper de ses enfants. Il ne lui manque alors qu’un certificat pour terminer son baccalauréat par cumul.

Déterminée à réussir, elle découvre le programme court de l’Université TÉLUQ en administration de services. Bingo! C’est le scénario idéal pour atteindre ses objectifs. « J’aurai officiellement terminé mon baccalauréat cet hiver », résume-t-elle avec soulagement.

Il a fallu six années à la Québécoise d’adoption pour parvenir à ses fins. « J’ai commencé mes études au Québec quand ma fille avait trois ans; maintenant, elle en a neuf, raconte-t-elle. Je ne pouvais suivre que deux ou trois cours à la fois et j’ai eu une autre grossesse entre-temps. »

«J’aime l’autonomie que les cours en ligne permettent.»

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Ce casse-tête de conciliation travail-famille-études a été simplifié par la flexibilité de son programme court à distance. « J’aime l’autonomie que les cours en ligne permettent, dit-elle. Tu organises ton horaire en fonction de ce qui te convient le mieux, et les personnes tutrices sont très disponibles. Je ne voudrais plus avoir à me déplacer pour aller à l’université et composer avec ce stress de nouveau. »

Sa persévérance a porté ses fruits, puisque Saredo Awaleh Ainan occupe maintenant un emploi de technicienne en ressources humaines à la Ville de Montréal grâce à ses nouveaux acquis. « À long terme, la poursuite de mes études dans un programme de maîtrise à l’Université TÉLUQ me permettra de progresser dans ma carrière, dit-elle avec ambition. J’envisage de poursuivre mon cheminement au deuxième cycle à distance. J’y vais un jour à la fois! »

Entreprendre au Québec tout en étudiant

Sabine Monique Adjasse a commencé à travailler dès son arrivée au Québec en 2018. Même si elle occupait un emploi à temps plein, elle était déterminée à poursuivre ses études universitaires.

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« Je suis arrivée avec ma maîtrise en science de la gestion, mais selon les équivalences, elle ne correspond ici qu’à un baccalauréat, donc au premier grade universitaire, raconte la Béninoise. L’entrepreneuriat me passionne tellement que je me suis dit qu’il me fallait une université à distance pour compléter ma formation. »

Sabine Monique se lance alors dans le programme court en entrepreneuriat de l’Université TÉLUQ, qu’elle décide de suivre en accéléré. Ses études à temps plein lui permettent même d’obtenir une bourse… qu’elle aura à rembourser un an plus tard. « Je ne savais pas que je ne pouvais pas recevoir une bourse et travailler à temps plein! », s’exclame-t-elle en riant.

«J’ai adoré être maître de mon horaire et pouvoir partager mon temps entre les différentes sphères de ma vie.»

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Elle poursuit donc ses études en payant tout de sa poche afin de ne pas mettre sa carrière sur pause. « J’ai voulu réussir rapidement, dit-elle avec aplomb. Fréquenter l’Université TÉLUQ a été très avantageux dans ma situation. J’ai adoré être maître de mon horaire et pouvoir partager mon temps entre les différentes sphères de ma vie. » Sabine Monique Adjasse cumule les talents, et il était impératif pour elle de pouvoir également profiter d’une vie privée bien remplie par les arts et la littérature.

Sabine Monique a travaillé fort, mais le jeu en a valu la chandelle. Elle a reçu son diplôme seulement deux ans après son inscription au programme court.

« Je suis entrée au MAPAQ en tant que travailleuse occasionnelle et, grâce à mes nouvelles études, j’ai été en mesure d’obtenir ma permanence, raconte-t-elle. Le gouvernement a reconnu mon diplôme, et ça a donné du poids à mon équivalence. » Pour elle, cela ne fait aucun doute : sa formation à distance a été le meilleur moyen de continuer à réaliser ses rêves dans son pays d’accueil.

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Et cette consultante en entrepreneuriat et technicienne administrative ne s’arrête pas là. « Je souhaite poursuivre mes études en m’inscrivant au programme court en gestion contemporaine des ressources humaines, pour mes projets personnels et aussi pour rehausser encore mon niveau universitaire », précise-t-elle.

L’Université TÉLUQ est plus que flexible, ce qui a de quoi plaire au caractère proactif de Sabine Monique. « Pour nous, immigrants, la clé est la flexibilité. Donc, un environnement d’accompagnement comme celui qu’offre l’Université TÉLUQ nous permet de quitter notre pays, de nous adapter, et d’évoluer à notre aise », conclut-elle le sourire aux lèvres et la tête pleine de projets.

***

Pour vous permettre de faire vos études et d’atteindre vos objectifs de carrière dans votre pays d’accueil, l’Université TÉLUQ se positionne comme une pionnière de l’enseignement supérieur à distance au Québec. Consultez la liste des programmes de l’Université TÉLUQ en cliquant ici!

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