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Je suis très impliquée avec la troupe de chant de l’Université de Montréal, ça fait 4 ans que je suis avec eux. Je chante depuis que j’ai 11 ans et j’avais toujours pris des cours privés individuels, et là le fait de travailler en groupe, ça m’a sortie de ma zone de confort : on travaille vraiment sur des harmonies.
C’est différent de la chorale dans le sens où on fait autant des chansons à douze qu’à dix-huit, ou en duo.
Cette année, on a fait une chronologie des années 1930 aux années 2000. C’est toujours des choses différentes : faut être créatif, c’est une autre façon d’aborder la chanson.
Entretemps j’ai essayé toutes sortes d’activités culturelles : de la danse, du dessin… J’ai fait du tango, du swing… et j’ai remarqué que j’aimais vraiment tout ça, fait que je me suis impliquée dans une école à l’extérieur – parce qu’ils offrent surtout des “niveaux un” à l’université. Maintenant c’est comme mon hobby principal avec le chant : je fais du Rockabilly Jive dès que je peux!
Les trois quarts des gens qui sont mes amis proches, c’est des gens que j’ai rencontrés en faisant de la danse sociale. J’ai aussi fait la connaissance de mon copain là-bas, trois mois après avoir commencé.
Ce que j’aime beaucoup dans les activités culturelles c’est que même si t’es pas bon dans une affaire, tu peux quand même t’essayer parce que c’est tellement accessible à tous! Elles m’ont apportées énormément de choses, que ce soit au niveau technique, de la diversification de mes intérêts ou des rencontres…
Je suis en train de changer d’orientation, et je vais surement devoir changer d’université, alors c’est vraiment ce que je vais regretter le plus si je dois partir.
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Pour lire une autre entrevue Portraits d’étudiants : Maxime
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