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Après nous avoir enflammés avec le vidéoclip de sa chanson Drumz, Vincent Roberge est parti séduire le public européen en jouant quelques concerts en France, en Belgique et en Suisse. Bonne nouvelle, notre collaborateur Owen était parmi la crowd parisienne lors de son concert à la Maroquinerie lundi dernier. Selon ses dires, Paris s’est fait envoûter par la performance de l’artiste et ses musiciens.
Voici un bref compte-rendu d’une soirée chaude et humide.
Lundi soir avait lieu le show parisien des Louanges, à La Maroquinerie de Paris, une salle de musique indé pas mal réputée dans la ville.
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La Nuit est une panthère,
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Les Louanges en studio, c’est Vincent Roberge, mais sur scène, avec le groupe, on ressent vraiment cette magie du live qui fait complètement sens, cette puissance de l’instrumental qui transcende le public.
Il a même adapté (un peu) ses textes: à Paname, «Tercel 96» devient «Peugeot 205» et «c’est pas la fin du monde messemble» devient «ce n’est pas la fin du monde il me semble». « Alors c’est pas un son parisien ça?? » Il en joue et on voit que cela fonctionne, toujours une bonne accroche pour un public français.
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La «queb army» de la Maroquinerie aura valu quelques « Bravo pour le Félix » « c’est ma toune préférée » « Esti c’est full bon » venus du public. On ressentait très clairement cette fierté, cette identité québécoise. Une bienveillance hors normes venue de l’autre côté de l’océan et qui fait beaucoup de bien à une ville comme Paris.
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