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6 choses que vous ne saviez pas sur le bal des finissants

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Parce qu’on ne pouvait pas faire un magazine interactif spécial Bal des finissants sans vous donner ces informations capitales!

1- C’est impossible d’y aller avec sa grand-mère

On ne sait pas si vous êtes du genre à être allé au bal avec un cavalier ou simplement avec votre virginité, mais il y a de bonnes chances que vous n’y soyez pas allé avec votre grand-mère. En tout cas, pas si vous avez étudié en Alabama.

En avril, un finissant d’Eufaula, dans le sud des États-Unis, a demandé à sa grand-mère de l’accompagner à son bal. Cette dernière, Catherine Maine, était vraiment excitée, elle qui n’a jamais terminé l’école secondaire. Elle s’est empressée d’acheter une belle robe ; elle était prête. Sauf que l’affaire, c’est que les grands-mères ne sont pas les bienvenues au bal.

Internet s’est fâché, mais l’école n’a pas bronché.

En effet, la commission scolaire locale interdit aux finissants d’être accompagnés d’un cavalier de plus de 20 ans, de peur que celui-ci facilite l’entrée d’alcool au moment de la réception. Et vous vous doutez bien que Catherine Maine a plus que 20 ans. Alors la direction a dit non. Internet s’est fâché, mais l’école n’a pas bronché.

De notre côté, on a l’impression que la présence d’une grand-mère nous aurait évité bien des débordements alcoolisés, mais bon.

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2 – Chez URBANIA nos souvenirs sont plate à mort

Pour savoir de quoi on allait parler, en commençant la production de ce magazine, on s’est d’abord intéressés aux bals de nos collègues d’URBANIA. On a notamment appris qu’une membre de notre équipe est allée au bal accompagnée d’un garçon, mais qu’elle est partie avec un autre, et qu’il y a un certain nombre d’excentriques — du genre à porter un habit rose et brun — parmi nous.

Sinon, sachez que hormis un veston par-ci par-là, seuls deux collègues ont reporté leur costume ou leur robe après la soirée, et qu’au sein de l’équipe, il y a eu autant de vomi que de relations sexuelles (plus de gens ont vomi, mais un collègue a scoré deux fois — high five, dude).

Mention spéciale tristesse à notre directeur technique, François-Olivier, qui s’est fait laisser le lendemain du bal. PIRE. HANGOVER.

5 – Certaines chansons sont indispensables pour faire danser tout le monde

En 2015, le magazine américain Seventeen a publié la liste des chansons qu’il faut ABSOLUMENT entendre pendant le bal des finissants, sinon la soirée compte même pas et vous allez rater votre vie (traduction libre). Bien entendu, la rédaction spécifie qu’il faut ajouter à cette liste les tubes de l’année, mais pas trop non plus.

Dans la liste, on trouve : I Don’t Wanna Miss a Thing, d’Aerosmith ; Hot in Here, de Nelly ; I Gotta Feeling, des Black Eyed Peas ; et Single Ladies, de Beyoncé.

Au Québec, on ajouterait certainement Hélène, de Roch Voisine ; Ça fait rire les oiseaux, de la Compagnie créole ; et Illégal, de Marjo.

Et, idéalement, Pousse, pousse (de Jonathan Painchaud), juste parce que c’est excellent.

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6 – On a tout faux en disant “bal de graduation”

Même si on dit tous « bal de graduation », il s’agit là d’un anglicisme, indique l’Office québecois de la langue française. Il faut plutôt dire : bal de fin d’études, bal de fin d’année ou bal DES finissants.

Ça vous a sûrement gossé en lisant le magazine, mais pas autant que nous en travaillant dessus.

C’est un peu comme quand on a appris que « trampoline » est masculin, genre.

On vous invite à découvrir les photos de finissants de personnalités québécoises, un extrait du magazine Spécial Étudiants.

Et pour découvrir le magazine interactif précédent sur la Météo, c’est par ICI!

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