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Louis-Philippe Gingras présente un nouvel extrait apocalyptique sous les tropiques

Un calypso éco-anxieux pour danser la fin du monde.

Par
Michelle Paquet
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Chez URBANIA, on est pas mal fiers quand nos collègues et collabos gagnent des prix, sortent des chansons ou mettent en scène des spectacles. Notre collaborateur Louis-Philippe Gingras présente son troisième album en carrière en novembre et on a pas mal hâte de danser l’apocalypse avec lui à son lancement.

D’abord auteur-compositeur-interprète, avant d’être rédacteur chez URBANIA, Louis-Philippe Gingras vient de faire paraître le premier extrait d’un album à venir et le projet s’annonce comme la plus belle des fins du monde. La pièce commence comme suit : « C’est un calice de beau calypso pour l’apocalypse aux tropiques. » Et s’en est un «calice de beau calypso» que nous offre le poète abitibien.

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La chanson en question, « Apocalypso », est un vers d’oreille irrésistible qui mélange les cuivres et les percussions aux textes imagés de LP. Il co-signe d’ailleurs les paroles d’« Apocalypso » avec Erik Evans du groupe Canailles, qui n’est pas étranger aux jeux de de mots et autres tournures de phrases funnées. Petit avertissement, ce « calypso éco-anxieux relatant une version quasi-biblique de l’Apocalypse », comme le dit l’artiste, risque de vous rester dans la tête longtemps.

Ce premier extrait prépare le terrain pour « Tropicale Apocalypse », le troisième long-jeu de Gingras, qui sera disponible en novembre. Pour cet album, on nous promet un « trip exploratoire qui se garroche un peu partout : calypso, punk rock, free jazz avec des passages sonores au Brésil, à Cuba et en Afrique.

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Il lancera ce troisième opus en grand avec des spectacles dans son Abitibi natale les 15 et 16 novembre prochain, où il jouera l’album dans son entièreté, et dans l’ordre (!). On nous promet que le lancement montréalais sera lui aussi de grande envergure, mais les détails viendront plus tard cet automne.

« Tropicale Apocalyse » fait suite à l’album « Troisième rangée », paru en 2016, dans lequel Louis-Philippe rendait un genre d’hommage au détaillant « Tigre Géant », faisait un petit tour au « Parc à chiens » avec La Bronze et composait une douce ballade pour une « Annie » qui fait des fuck you dans le châssis.

Vous pouvez suivre Louis-Philippe Gingras ici.