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⚠️ AVERTISSEMENT: Le contenu de cette chronique pourrait en offenser plusieurs. Une lecture au deuxième degré est chaudement recommandée*.
Voici 10 grandes différences entre moi et un activiste de gauche:
1) Quand je n’aime pas le Black Friday, je vais magasiner un des 364 autres jours restants de l’année.
Quand un activiste de gauche n’aime pas le Black Friday, il manifeste dans un magasin, il bloque la rue Sainte-Catherine et il se colle des choses dans la vitrine d’un commerce.
2) Quand je n’apprécie pas les propos de Don Cherry, je change de poste entre les périodes à Hockey Night in Canada ou j’éteins ma télé.
Quand un activiste de gauche n’apprécie pas les propos de Don Cherry (même pas scandaleux en plus), il réclame son congédiement et exige des excuses du diffuseur.
3) Quand je prends du poids, je me mets au régime et je fais plus d’activités physiques.
Quand un activiste de gauche prend du poids, il réclame qu’on modifie la Charte des droits et liberté pour y inclure la discrimination basée sur le poids des individus.
4) Quand je vois un média que j’apprécie avoir de graves difficultés financières et être au bord de la faillite, je m’abonne et je contribue financièrement à sa survie.
Quand un activiste de gauche voit un média qu’il apprécie avoir de graves difficultés financières et être au bord de la faillite, il réclame des subventions du gouvernement ou sa nationalisation pour le sauver.
5) Quand je veux faire un geste pour l’environnement, je composte, je ramasse des déchets abandonnés par terre ou je plante un arbre.
Quand un activiste de gauche veut faire un geste pour l’environnement, il marche dans la rue avec Greta ou il signe un pacte avec Dominic pour implorer le gouvernement à augmenter nos taxes et nos impôts.
6) Quand un metteur en scène produit une pièce que je considère remplie de clichés qui véhiculent des préjugés, je n’achète pas de billet pour aller la voir au théâtre.
Quand un metteur en scène produit une pièce qu’un activiste de gauche considère remplie de clichés qui véhiculent des préjugés, il l’accuse d’appropriation culturelle, le lynche publiquement et il réclame la destruction de l’œuvre.
7) Quand je perds un job, je me retrousse les manches, je me crache dans les mains et je travaille deux fois plus fort pour rebondir.
Quand un activiste de gauche perd son job, il porte plainte pour discrimination ou il accuse son boss de vouloir s’en mettre encore plus dans les poches, sans payer assez d’impôts.
8) Quand j’appuie une loi sur la laïcité de l’État, je vote pour le parti qui la propose et je respecte le résultat démocratique.
Quand un activiste de gauche s’oppose à une loi sur la laïcité de l’État, il traite ceux qui l’appuient de racistes, d’intolérants, d’islamophobes et il conteste sa légalité devant les tribunaux.
9) Quand j’ai un code vestimentaire à respecter au travail, je m’y conforme ou je change de job.
Quand un activiste de gauche a un code vestimentaire au travail, il ne le respecte pas, porte un coton ouaté et crie à la discrimination.
10) Quand mon lecteur de droite lit cette chronique, il rit et la partage sur les réseaux sociaux.
Quand un activiste de gauche lit cette chronique, il écrit à mon patron pour réclamer ma mise à pied d’URBANIA et me signale à Facebook pour propos haineux.
*Inspiré d’un concept qui a connu un buzz en France, adapté à la sauce québécoise, en fonction de l’actualité de 2019.