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Laissez-moi pimenter ma vie comme je le veux
URBANIA et Benny&Co. s’unissent pour vous faire découvrir le merveilleux monde du piquant et, par le fait même, le burger au poulet frit et jalapeños signé Martin Juneau.
Récemment, j’ai peut-être vécu le plus grand moment d’euphorie de mon année (à ce jour). Vous pourriez croire que j’ai reçu une demande en mariage ou que j’ai gagné le gros lot… mais non. Mon coloc est arrivé à l’appartement avec une nouvelle bouteille de sriracha! Pénurie oblige, nous n’avions pas pu pimenter nos plats adéquatement depuis des SEMAINES. J’avais quand même réussi à trouver une source de réconfort dans les restaurants, mais je m’ennuyais fortement de ce piquant dans ma vie.
Les personnes présentes dans la pièce étaient assez sous le choc de me voir célébrer autant pour une petite bouteille de piments broyés. On pourrait dire qu’à ce moment-là, les fils se touchaient dans ma tête.
Est-ce que c’est raisonnable d’aimer autant le piquant ? Suis-je intense ? Absolument pas. JE SUIS EN FEU (si vous voyez ce que je veux dire).
Pourquoi vivre dans une vie grise et maussade lorsqu’on peut rehausser chacun de ses plats avec une chaleur réconfortante et enivrante ? Le piquant fait partie intégrante de mon alimentation, et je vais vous convaincre de vous laisser emporter dans cette passion pour les p’tites sueurs, les yeux qui pleurent et les grandes gorgées d’eau.
Mon coup de foudre épicé
Étonnamment, je me rappelle ma première date avec le piment. Elle fut plutôt brusque. Très rapidement, on pourrait la résumer ainsi : mon buddy m’a mis au défi de manger un piment au complet sans pleurer. Je l’ai fait. J’ai pleuré.
Il ne faut cependant jamais se fier aux premières impressions, car derrière cette rencontre épicée s’est faufilé un coup de foudre (littéralement). Mon subconscient a enregistré dans les annales les plus profondes de mes connexions cérébrales l’euphorie que provoquait la réaction chimique de la capsaïcine (le composant actif du piquant). Bientôt, le feu de l’amour allait se consumer et se consommer au point d’aller au-delà de la chaleur et plutôt dans les subtilités gustatives que cette union pouvait dégager. Nous allions ouvrir le couple, explorer de nouveaux piments et essayer toutes sortes de sauces.
L’épicé sous toutes ses formes
Lorsqu’on tombe amoureux de l’épicé, on développe assez vite une tolérance permettant de goûter à toutes sortes de pâtes, de sauces et de piments séchés qui, chacun à leur façon, enrichissent nos assiettes. L’objectif n’est pas de faire exploser l’échelle de Scoville, mais bien d’y trouver son confort et d’explorer, de temps en temps, ses étendues.
Il faut essayer des sauces plus sucrées, plus salées, plus fortes, plus douces, plus fumées, plus veloutées… vous comprenez, je pense. Il faut se rappeler aussi que le piquant se trouve non seulement dans les sauces, mais aussi dans les condiments. Étant moi-même un artisan dans l’âme, cet automne j’ai préparé mes propres conserves de jalapeños. Et franchement, que ça soit dans mes wraps, burgers ou nachos… chaque fois, elles ont épaté la galerie. Il n’y a rien comme des piments marinés pour donner un petit crounch et un petit kick à une assiette.
Lorsqu’on tombe amoureux de l’épicé, on développe son palais, on se laisse emporter par la vague (de sauce), mais surtout… on choisit ses plats de prédilection. Tout est possible, les déjeuners, les desserts… les litchis bombs?
Choisir son moment épicé
C’est bien beau de manger épicé, mais il faut savoir choisir l’occasion. Comme je le suggère en titre de cette lettre ouverte, chacun doit pouvoir pimenter sa vie comme il le veut, mais il faut aussi savoir mettre du piquant au bon moment (ou plutôt sur le bon plat).
La décision la plus saine lorsqu’on mange épicé, c’est celle qu’on prend en considérant les dommages collatéraux… c’est-à-dire ceux qui affectent notre système digestif. C’est pourquoi j’essaie d’épicer mes déjeuners le moins possible (même si je le fais parfois). Je choisis mes batailles… mais surtout : mes plats.
Si vous voulez mon truc de pro (et de passionné), l’épicé a plus que sa place entre deux tranches de pain. Que ça soit dans un burger au poulet frit ou dans un sandwich à déjeuner, les deux gros morceaux de gluten viennent adoucir chaque bouchée et souvent, une petite mayo vient diluer les effets enflammant des piments.
Conclusion
Ce n’est pas la taille du piment qui compte ni la force de son feu (sauvage de l’amour) : l’important, c’est de savoir avec quoi on le consomme. Cet amour, il se travaille une bouchée à la fois. Pénurie de sauce ou pas, vous y trouverez votre comble.
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Pour aller au bout de votre passion pour l’épicé, on vous invite à essayer sans plus attendre le burger au poulet frit et jalapeños créé par le chef Martin Juneau pour Benny&Co. Cliquez ici pour commander dès maintenant!