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La Pointe-Nord de l’Île-des-Sœurs : bien plus qu’une sortie après le pont Champlain
URBANIA et Evolo NEX s’unissent pour vous faire découvrir le quartier Pointe-Nord de L’Île-des-Sœurs et vous donner envie d’y emménager.
Les presque six ans de différence entre ma sœur et moi font que, lorsqu’on était plus jeunes, on n’était pas tellement copains-copains. Quand, à deux ans, elle passait encore plus de temps à pleurer qu’à parler, ce n’était pas une situation idéale pour forger des liens solides (elle va m’en vouloir pour celle-là…).
Aujourd’hui, à 26 et 21 ans, on se retrouve peu à peu, mais les occasions nous manquent pour rattraper le temps perdu. Quand URBANIA m’a proposé d’aller visiter le quartier Pointe-Nord de L’Île-des-Sœurs avec ma sœur, je me suis dit que c’était une bonne occasion pour la voir et, bien sûr, aller découvrir ce qui se cache derrière ce bout de terre qui a déjà accueilli de vraies sœurs (celles qui ont la foi).
Au menu : courir en forêt, admirer les paysages et insulter le courant du fleuve Saint-Laurent. Vous allez comprendre.
L’arrivée en Terre promise
Profitant d’une des rares belles journées de l’été, on a j’ai décidé d’y aller en vélo (on ne se fera pas croire que c’est ma sœur qui avait le lead dans cette journée-là, quand même). Depuis Montréal, l’entrée se fait facilement à bicyclette. Pour les plus décidé.e.s, il y a ensuite une magnifique piste riveraine qui fait presque le tour de l’île.
Si vous avez la chance et le temps de vous rendre sur place en empruntant la piste cyclable de l’Estacade, c’est un must. Vous savez, la petite traversée que vous voyez un peu plus bas depuis le pont Samuel-De Champlain? Pas le pont de la Concorde qui mène au Casino, l’autre. Oui? C’est elle. Sachez que vous pouvez aussi l’emprunter vers la Rive-Sud (c’est pas un one-way, on s’entend).
Sur plus de 2 km, on se dirige vers l’île tout en admirant la vue. C’est franchement beau! Attache ta petite casquette Ciele par contre, parce qu’il vente! Pour les moins intrépides, le REM y a sa propre station. Par respect, on est allés saluer les grands voyageurs en train.
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Se perdre en forêt
La première activité que j’ai proposée à l’autre héritière de ma famille est la course en sentier. Pour le plaisir, bien évidemment, mais également pour voir si son adhésion à son club de jogging matinal se donnant comme point de rendez-vous un café trendy portait ses fruits.
Direction le boisé du Domaine Saint-Paul, une forêt de 26 hectares! « Là, cours pas à un pace de fou! », m’a directement lancé ma sœur tout en enfilant ses souliers hors de prix finalement salis 30 secondes plus tard. Elle n’aurait même pas eu besoin de me le demander, car l’endroit ne m’a pas donné envie d’aller le plus vite possible, mais plutôt de profiter de chaque instant. Oubliez le cliché, c’est sincère. On oublie presque que le centre-ville se trouve à quelques kilomètres.
Plus de 200 espèces d’oiseaux y vivent et presque autant d’ornithologues amateurs. J’ai en effet pu rencontrer quelques clients fidèles de Sail et de L’Équipeur en train de prendre en photo une buse et un héron. La végétation est dense, s’apparentant quasiment à celle de la jungle – la preuve, je vous jure qu’on a vu ce qui ressemble drôlement à une liane (photo à l’appui)!
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L’aventure aquatique
Après avoir finalement retrouvé notre chemin vers la sortie et publié notre trajet sur Strava (à quoi ça sert, sinon), je me suis dit qu’on venait de bien démontrer notre maîtrise des activités terrestres, avec le vélo et la course. Pourquoi ne pas s’attaquer maintenant à une activité aquatique? À l’extrémité de l’île se trouve NAVI, un espace offrant justement la location de kayaks et de paddleboards, entre autres!
Je choisis l’option kayak double, histoire de nous rapprocher en tant que fratrie, mais également pour arroser ma sœur bien involontairement. « Avez-vous déjà fait du kayak? », m’a demandé celui qui aurait pu se faire tatouer « marin » dans le front tellement il avait le physique de l’emploi. Je lui ai alors répliqué, tout en peinant à masquer mon manque d’assurance : « Ben oui! » Il a alors soulevé l’embarcation (double, on se rappelle) d’un seul bras et l’a déposée au quai, sans même haleter une seule seconde. Un vrai matelot.
Après avoir affronté le fort courant sous le pont Samuel-De Champlain, on a pris une petite pause. Je dois avouer qu’observer cette immense structure d’un tel point de vue, c’est assez inusité et impressionnant. Le soleil se reflétait sur l’eau, mais aussi pas mal sur mes pauvres cuisses.
On s’est dit que le moment était judicieux pour commencer à rebrousser chemin. Le retour au quai a été beaucoup plus facile, et on a profité des dernières minutes pour sympathiser avec un nouvel ami (voir photo ci-dessous). « Pis, ç’a bien été? », m’a demandé le possible membre de l’équipe d’aviron de l’Université McGill en récupérant nos gilets de sauvetage. « Ben oui! », ai-je répliqué d’un ton trahissant la douleur ressentie dans tout mon corps.
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La récupération
Il est vrai qu’on avait donné, côté effort physique en une seule journée. Ma sœur étant une adepte de yoga chaud, je me suis dit qu’il était temps qu’elle fasse sa part en me proposant quelques positions qui nous permettraient de nous étirer (en plus, j’avais déjà chaud, ça marche). Après l’avoir suppliée de descendre des modules pour enfants (voir photo ci-dessous), on a pu se trouver un petit coin tranquille au parc de l’esplanade de la Pointe-Nord.
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Me sentant de moins en moins patient dans la compréhension des mouvements, ma sœur a alors eu l’excellente idée de proposer qu’on mange une bouchée. Les choix dans le coin sont multiples et m’ont longuement fait hésiter : le restaurant japonais Nagomi, Le Petit Sao, d’inspiration vietnamienne, ou le Mamie Clafoutis?
On a finalement choisi cette dernière option, afin de prendre un sandwich pour emporter et d’accélérer le retour à la maison. Cela dit, si le choix du restaurant pour notre sortie frère-sœur avait été fait par notre mère, elle aurait sûrement insisté pour que nous allions manger aux Enfants Terribles, histoire qu’on se rappelle tout ce qu’on a pu lui faire vivre.
Sans farce, ma journée m’a fait découvrir ce secteur de L’Île-des-Sœurs sous un autre angle : c’est vraiment plus qu’une simple sortie à la fin du pont Samuel-De Champlain, promis! Il faut savoir que le quartier Pointe-Nord est LEED (acronyme qui vient de l’anglais Leadership in Energy and Environmental Design), ce qui veut dire que le développement durable est au cœur des actions qui y sont mises en œuvre. On peut penser aux toitures réfléchissantes ou vertes qui y ont été installées pour éviter les îlots de chaleur, aux stationnements, recouverts de végétation, ou aux systèmes de géothermie (les deux premières tours EVOLO, notamment, en sont dotées). Tsé, juste le genre d’endroit où il fait bon vivre, en accord avec ses valeurs, sans avoir à faire de compromis.
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D’ailleurs, pour plus d’info sur ce projet immobilier, rendez-vous sur le site d’Evolo NEX!