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Aujourd’hui, c’est la fête de notre éditeur, Philippe. Ce matin, il a eu droit au plus beau cadeau du monde (selon lui) : une mention d’Urbania dans la chronique de Foglia.
Honnêtement, on s’attendait à tout sauf à ça.
Dans notre dernier numéro, on n’a pas été gentils avec Foglia. On lui a envoyé une pointe. On a écrit qu’on trouvait ça ordinaire qu’il refuse de participer à notre édition sur les petits vieux et qu’on trouvait ça encore plus ordinaire qu’il nous demande de le rappeler quand on ferait un numéro sur «la culture de la betterave à sucre dans les régions septentrionales».
Lorsqu’on a lu les premiers mots de sa chronique ce matin, on s’attendait franchement au pire. On avait la chienne qu’il se venge et qu’il nous démolisse devant ses dizaines (centaines?) de milliers de lecteurs.
Pourtant, il n’en fut rien.
Il est resté bon joueur. Il est resté gentil. Un peu comme les téléphonistes de chez Bell qui gardent un sourire dans leur voix, même quand on les insulte.
Faut croire que Foglia est au-dessus de ça, les petites pointes de petits magazines.
Les vieux ont tellement à nous apprendre. Vous ne trouvez pas?
***
Parlant de vieux, Philippe, notre éditeur, a un an de plus aujourd’hui.
Bonne fête Phil.
On t’aime. Et on est fier de toi.
Phil, Foglia le jour de ta fête, tu le mérites tellement.