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Jean-Charles Lajoie, je t’aime

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Au mois de décembre, le charmant commentateur sportif Jean-Charles Lajoie n’était pas allé de main morte pour commenter notre numéro sur le hockey sur les ondes du 98,5 et de TQS. Mauvaise foi? Brainswash de l’administration du Canadien? Intolérance aiguë au sarcasme? No sé. Tout ce que je sais, c’est que ma mère m’avait appelée en panique pour me rapporter ses propos «pas gentils».

Or, vendredi passé, quand je suis débarquée au 98,5 pour parler du numéro sur le sexe avec le séduisant Benoît Dutrizac, il est entré en studio au moment où j’enfilais les écouteurs.

– Ouin, ça sent bon ici!

– …

– Bonjour mademoiselle! m’a-t-il dit tout sourire.

– Salut, lui ai-je répondu sèchement, en me rappelant les propos qu’il avait tenus.

– Content de faire votre connaissance.

– Ouin… t’es sûr, mon gars?

– Ben oui.

Sans attendre, il s’est assis à côté de moi et a enfilé les écouteurs. Shit. C’est un coup monté, me suis-je alors dit : ils nous ont rassemblés pour débattre des plottes à puck et/ou de la longueur du pénis de Guillaume Latendresse. J’étais prise au piège. Pareil comme Simba dans le Roi Lion, dans la scène avec les hyènes.

Finalement, il n’en fut rien.

Angoisse de filles, of course.

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Jean-Charles en a plutôt profité pour m’offrir ses plus plates excuses (et un peu pour me cruiser, je pense…). Peu importe si c’était le cas ou non, à la fin de l’entrevue, je m’étais attachée et il était tout pardonné. Je le trouvais même beau.

Pour écouter cet instant de radio magique, digne des meilleures émissions de Claire Lamarche, il faut cliquer ici.

PS : Mon beau J-C, si tu veux qu’on aille manger des ailes à la Cage du Centre Bell, je suis libre anytime. A-ny-ti-me.