Infiltrer des univers sombres

Chez URBANIA, on fait beaucoup de choses, dont de la TV de qualité!

D’ailleurs, dès le 15 janvier à 22h30, vous pourrez voir un de nos toutes nouvelles productions, Infiltration, à Z.

— PY, c’est quoi Infiltration?
— On s’invite dans des univers sombres et à l’aide de caméras cachées, on vous les fait vivre de l’intérieur. Des mondes dont on connaît l’existence, mais qui nous sont peu familiers : des salons de massages érotiques, des pokers clandestins ou des cérémonies vaudou. On entre partout! Même si on est pas toujours les bienvenus…

— En quoi ta personnalité matche bien avec ce show-là?
— C’est le projet qui me ressemble le plus. C’est curieux, un peu baveux, et, tout au long de nos investigations, on récolte des informations et on en apprend beaucoup sur le sujet. J’aime me renseigner. J’aime le contenu. Et j’aime les enrobages rugueux et irrévérencieux. Je suis pas mal fier de ce projet et de ma collaboration avec URBANIA.

— Dans les milieux que tu as explorés pour cette série, lequel t’a le plus marqué?
— Pour entrer dans le monde du crack, j’ai côtoyé des gens qui ont vécu l’enfer de la drogue. On parle pas ici d’une petite puff de joint dans un party, mais de dépendances destructrices. Il faut du courage et de la volonté pour se sortir de ça. C’était assez bouleversant.

— Est-ce que tu as eu peur à certains moments?
— Y’a toujours des risques. Plus on creuse vers l’illégalité, plus on se rapproche du danger. Mais c’est grisant et excitant. En ne jugeant personne, les portes s’ouvrent plus facilement. Disons que je n’étais pas habitué à l’univers du crack et du trafic d’armes. On a vécu certains inconforts et je me demande ce que la diffusion des émissions va générer.

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