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L’organisme PETA (People for Ethical Treatment of Animals a.k.a les gens qui postent des photos et vidéos d’animaux morts/torturés sur votre fil d’actualités Facebook aux moments où vous vous y attendez le moins) publiait la semaine dernière sur Twitter une liste d’expressions visant à éradiquer le langage anti-animal. C’est peut-être abstrait dit de même, mais ça a l’air de ça:
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Si vous trouvez ça ridicule, ne vous sentez pas trop coupable. Cette initiative a été très critiquée et pas juste par votre mononcle réac’ sur Facebook.
Chez URBANIA, on est pour les droits des animaux, mais on comprend surtout qu’ils ne comprennent pas le langage des êtres humains, donc que ce qu’on dit ne les affectent pas. Tsé, c’est correct de parler de vendre la peau de l’ours, tant que tu vends pas la peau de l’ours pour de vrai ou en tout cas pas sans permis. Qui vend des peaux d’ours en 2018, anyway? À ce qu’on sache, Daniel Boone est mort en 1820.
Cependant, on trouvait ça très drôle de franciser les efforts de la PETA et de trouver des équivalents pro-animaux aux expressions d’ici.
Battre de l’aile – Avoir le bardeau slack
Jouer à l’autruche – Avoir la conscience en mode avion
Être le dindon de la farce – Être le tofu du gag
Être muet comme un carpe – Être muet comme une tarte
Avoir la puce à l’oreille – Avoir la puce électronique d’espionnage style James Bond dans l’oreille.
Ton chien est mort – Ton père prend l’bord
Mettre la charrue devant les boeufs – Se mettre le derrière devant les yeux
Vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué – Chier la galette avant de l’avoir mangée
Un éléphant dans un jeu de quilles – Un innocent dans un jeu d’billes
Avoir une tête de mule – Avoir une tête de Trump