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Choisis cet atelier à l’Université de Montréal!
L’Université de Montréal offre une multitude d’ateliers ouverts à tous, étudiants ou pas, dans le cadre des Activités culturelles.
Tu peux entre autres y apprendre à faire des montages photo de ton chat comme un pro, à te déhancher comme une Indienne de souche ou encore à tricoter plus vite que ta grand-mère.
On a donc demandé à trois responsables de te donner des arguments béton pour te persuader de suivre leurs ateliers, hautement utiles dans la vie en général.
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Courte bio/expérience sommaire de travail de Philippe, responsable de l’atelier
J’ai travaillé comme auteur sur un gala Juste pour rire et sur un gala Artis. Présentement, j’écris des blagues pour des humoristes de la relève et des textes pour URBANIA et Les Populaires de temps en temps. Je suis aussi Gestionnaire de communauté chez URBANIA. Autre expérience non négligeable : j’ai lu tous les livres de Gilles Latulipe.
La meilleure raison de suivre cet atelier
L’atelier permet notamment d’apprendre les notions de base en écriture humoristique (procédés utilisés, genres, formats, etc.) et donc d’écrire des statuts Facebook plus efficaces humoristiquement parlant. Tu pourras par conséquent attirer l’attention de Mark Zuckerberg et ainsi, recevoir des millions de dollars de sa part. Sinon tes réponses à une princesse africaine milliardaire à son courriel de détresse seront autrement plus convaincantes; une autre façon de te remplir les poches. Un vrai “win-win”!
Allez, viens! Je te garantis que si t’as toujours été intéressé(e) par le milieu de l’humour, tu vas triper. Et qui sait? Ça pourrait être le début d’une nouvelle carrière au pays du rire gras! Pis tu pourrais peut-être éventuellement croiser Louis-José Houde et lui dire que vous faites le même métier. Non, fais pas ça finalement.
Je te garantis que tu découvriras de nouvelles notions en écriture et en humour en plus de voir évoluer ta plume tout au long de la session.
Ce serait un honneur que tu m’appelles “Monsieur”. Ou Philippe. Ou Monsieur Philippe. Comme tu veux.
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Courte bio/expérience sommaire de travail de Nindy, responsable de l’atelier
J’ai commencé la danse alors que j’étais toute petite en suivant des cours de ballets jazz.
En 2007, je me suis mise à pratiquer le hip-hop à la première école de danse urbaine à Montréal, Urban-Element. Et je viens de finir en avril dernier mon baccalauréat en danse contemporaine à l’UQAM. Ça fait 5 ans que j’enseigne le hip-hop, et c’est tout nouveau que j’ai la chance de donner un atelier aux Activités culturelles – ma 2e session cet hiver.
J’ai participé à des spectacles en danse urbaine. J’ai fait entre autres 3 éditions de 100LUX, festival qui met en lumière la danse urbaine sur une scène professionnelle, la Cinquième Salle de la Place des Arts. J’ai aussi travaillé avec la metteure en scène, Alix Dufresne, dans le cadre du Festival Quartiers Danses.
Pour voir de quoi je parle, un de mes premiers contacts avec les artistes montréalais, c’était avec Karma Atchykah.
La meilleure raison de suivre cet atelier
Que tu aies envie de faire de l’exercice, que tu aimes la musique ou le mode de vie qui y est lié, tu y trouveras ton compte. Je crois vraiment que chaque personne a quelque chose en elle qui la rend capable de danser. Alors laisse-toi emporter par la musique et le hip-hop va te faire bouger.
En donnant des cours, j’ai appris que la relation prof-étudiant n’a pas lieu d’être; tout le monde doit s’entrainer d’égal à égal. On partage la danse, la musique, nos états d’esprit.
Le hip-hop, c’est ça : un art qui crée un lien de proximité entre ses participants. C’est ce qui me “drive” le plus dans les cours de danse.
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Courte bio/expérience sommaire de travail d’Étienne, responsable de l’atelier
J’ai eu mon diplôme en comm. à l’Université de Sherbrooke en 2009. J’ai travaillé aux communications du festival Woodstower à Lyon en 2010.
J’ai toujours fait de la radio depuis 2005 dans les radios universitaires : animateur, directeur de l’info à CFAK à Sherbrooke, directeur de la programmation à CHUO à Ottawa et depuis 2011 à CISM où je suis directeur de la programmation. CISM qui d’ailleurs a reçu son premier GAMIQ (Gala alternatif de la musique indépendante du Québec) en 2015, en plus d’avoir gagné à plusieurs reprises aux Rencontres de l’ADISQ.
La meilleure raison de suivre cet atelier
Moi je suis tombé dans la radio, car je me suis rendu compte que j’étais le seul à écouter la musique que j’écoutais, le monde n’était pas au courant de la scène locale. J’avais envie de faire découvrir la musique francophone d’ici moins connue.
L’animation radio est une excellente façon de propager l’info qui nous tient à cœur, d’approfondir nos connaissances sur un sujet qui nous passionne déjà.
Durant l’atelier, tu vas pouvoir apprendre les différentes façons de parler d’un sujet : chronique, reportage, animation générale (genre à la Alain Gravel).
Ça fait 5 ans que je donne cet atelier. Pour la petite anecdote, le gars qui a écrit l’annonce Divan viril en 2011 (qui avait fait un buzz sur le web) est venu suivre l’atelier. Depuis, il se prénomme Divan viril et anime l’émission CNUL à CISM.
Alors pour ceux qui débordent de personnalité à ne plus savoir quoi en faire ou ceux qui veulent tout simplement partager leur passion, venez participer à cet atelier!
Je vous garantis que vous serez capable de réaliser une émission de radio avec des propos structurés. C’est pas rien!
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