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Ces choses qui nous feront toujours craquer

Quand nos papilles nous jouent de beaux tours.

Par
Victor C.
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URBANIA et les vins des Côtes du Rhône s’unissent pour célébrer notre sens du goût.

J’ai toujours pensé que notre capacité à déjouer nos besoins primaux est ce qui nous distingue des animaux. J’aime croire que je suis plus mature que mon petit lapin (eh oui, j’ai maintenant un lapin chez moi), qui s’entête à essayer de manger des choses toxiques pour lui – mais tout cela n’est qu’un leurre.

L’humain, tout comme l’animal, aura toujours plusieurs talons d’Achille. Ces choses qui nous font craquer à tout coup, qui sont à la base même du plaisir et dont on ne pourra jamais se passer.

En voici cinq qui, selon moi, seront toujours dignes d’une place à notre table.

Parce que la vie est trop courte pour la passer à manger des chips aux légumes.

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La poutine

Vous arrive-t-il parfois de vous dire « quelle tristesse : la majorité des gens sur cette Terre ne goûteront jamais à une poutine et ne connaîtront pas le grand bonheur que procure ce mélange parfait de sauce brune, de fromage fondant, de frites détrempées »?

Moi, trop souvent. S’ensuit généralement une sorte de vide existentiel. La mélancolie s’empare de mon être. Mon œil devient humide alors que je me répète « jamais, ils ne sauront jamais… ».

Bref, pas surprenant que lorsqu’on me demande ce que j’ai envie de faire, une fois sur trois je réponds : « Engouffrer une poutine. » Le reste du temps, je réponds : « M’asseoir, parce que je viens de manger une poutine. »

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La crème glacée

S’il y a bien une chose dont je me souviens du temps où j’habitais chez mon père, c’est qu’on pouvait toujours trouver un pot de crème glacée dans le congélateur.

En juin ou au plus creux du mois de février, ce délice glacé nous attendait, fidèle au poste, prêt à être consommé dès qu’on en sentait le besoin. Vous avez de la peine? Voici une cuillérée de Rolo. Heureux? Voici une cuillérée de Rolo avec un coulis de framboises. Vous venez d’écouter le débat présidentiel? Vous pouvez manger directement dans le pot.

Toutes les raisons sont bonnes pour s’enfiler une scoop de crème.

Célébrons, un brain freeze à la fois!

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Le sel

La personne qui prétend qu’elle peut se passer de sel dans la vie peut cesser de mentir immédiatement. Le sel, c’est la cerise sur le sundae des trucs qui ne goûtent pas grand-chose. Tout devient meilleur avec du sel, autant vos pâtes blanches que vos frites.

Concevoir un monde sans sel, c’est l’équivalent de concevoir un monde sans oxygène.

Et j’irai plus loin encore : je suis convaincu que le sel est le meilleur ami de l’humain après le chien, et le Wi-Fi.

Le vin

Quand on est jeune, on regarde les adultes boire du vin et on se demande vraiment c’est quoi, le trip avec ça. À vue de nez, on dirait du jus de raisin oublié trop longtemps sur le comptoir.

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Puis on vieillit, et arrive ce moment où en n’en peut plus de boire de la maudite bière cheap. Avec l’âge, l’alcool finit par être consommé plus pour le goût que pour son effet… et c’est généralement à ce moment précis que le vin se présente comme le plus délicieux des nectars.

Et les vins ont le chic pour s’adapter à toutes les situations. Ils feront aussi bonne figure au brunch que dans un party arrosé ou un 5@7 virtuel de pandémie.

Parfois, à la SAQ, je demande au conseiller, juste pour le tester : « Avez-vous des vins pour faire du surf? ». Et chaque fois, je suis surpris qu’on me guide avec autant de bienveillance et de professionnalisme : « Bien sûr! Vous n’avez qu’à vous rendre dans la section des vins de surf, tout juste à côté des vins pour jouer aux échecs. » Mais plus souvent qu’autrement, je questionne les employés plus sérieusement sur des choix qui pourraient s’accorder à une bonne pizza à déguster entre amis et c’est là qu’on m’explique qu’un Côtes du Rhône Villages serait très approprié. « Ou vous pourrez commencer avec un Côtes du Rhône blanc pour débuter la soirée avec un apéro et des petites bouchées ». Et en sentant l’excitation que provoque chez moi l’idée de débuter la soirée par un petit apéro, je constate que que j’ai réellement mis les pieds dans le merveilleux « monde adulte ».

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Comment se passer d’un produit qui est si polyvalent, qui nous fait voyager et qui nous ouvre les portes de la découverte?

Amen.

Le café

Ça fait longtemps que j’ai arrêté de boire du café uniquement pour l’effet. Certes, je ne peux commencer mes matins sans avoir ma tasse quotidienne, mais une fois le réveil passé, je dois me faire violence pour ne pas consommer une tasse de plus juste pour le goût.

Je sais pourtant que le café nuit à ma digestion et à mon sommeil, mais il m’arrive tout de même de m’en enfiler un après 16 h, juste parce que c’est trooooop bon. Une heure après, je transpire à grosses gouttes, je tape du pied et je regrette un peu… mais au moins j’ai pu savourer une nouvelle tasse de cet élixir du bonheur.

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La journée où la Terre explosera, je regarderai le tout, un café (ou peut-être un grand verre de Côtes du Rhône) à la main. Et je trouverai quand même le moyen d’esquisser un sourire.

****

En plein confinement, ce n’est surtout pas le moment de dire adieu aux bonnes choses. Ça ne règlera peut-être pas tout, mais une bonne bouteille de vin comme un Côtes du Rhône blanc pour accompagner une réconfortante soupe à l’oignon gratinée et bien salée (à déguster seul ou avec les colocs), ça rend n’importe quelle situation plus agréable!

On vous suggère aussi en deuxième service de vous payer la traite avec un carreau d’agneau ou un magret de canard et d’accorder tout ça à un Côtes du Rhône rouge. Vous dormirez mieux, c’est certain.

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