.jpg)
Publicité
Vous admirez les Beatles? Vous êtes en transe extatique devant Pink Floyd? Vous ne pouvez refréner ce hochement de tête contagieux que procure l’écoute des plus grands tubes des Rolling Stones?
Je ne suis fan d’aucun de ces groupes.
Si j’avais à effectuer une sélection, mon équipe de rêve se composerait plutôt de Beastie Boys, Blink-182, et Underoath. Bien que j’écoute maintenant les deux derniers de façon plus aléatoire, il n’y a pas une semaine qui passe sans que Mike D, Ad-Rock, et MCA me soufflent les effluves d’un tas de souvenirs ayant un lien direct avec l’écoute de leur musique, et ce, à un moment ou à un autre de ma vie.
Des après-midi de mon adolescence à faire du skate au son de « Sabotage », fast-forward à l’automne 2007 où je suis arrivé trente minutes trop tard pour des billets au parterre, jusqu’à aujourd’hui, je suis toujours resté fidèle.
Comme des milliers d’autres, j’attendais avec impatience la deuxième journée de l’édition 2009 du festival Osheaga, où les Beastie Boys devaient initialement prendre la scène d’assaut.
Publicité
Nous avons ici l’exemple parfait de la proximité qu’offre les médias sociaux. En moins d’une heure la nouvelle avait déjà fait le tour du monde sur Facebook, avait été re-twitté à satiété sur Twitter, et tout ça bien avant que les principaux organes de presse emboîtent le pas. Inquiétant? Non, cela démontre tout simplement que le journalisme-citoyen, lorsqu’il est utilisé à bon escient, peut-être un excellent canal de communication.
Listen all of y’all it’s a sabotage…