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Vazimolo a rythmé mes fins de semaine de 1991 à 1995. Et j’ai ri. Seigneur que j’ai ri.
André Robitaille occupe une place importante dans ma jeunesse. Dans la jeunesse de plusieurs adultes, d’ailleurs. Dans ma tête, il est associé à «manger des céréales en pyjama en attendant que mes parents se lèvent». C’est pourquoi je propose un reboot de Vazimolo. Qui est avec moi?!
En attendant de convaincre André, rappelons-nous pourquoi c’était si bon!
Le nom
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J’avais six ans quand l’aventure Vazimolo a commencé. Déjà en partant, j’étais conquise par le nom. Ça sonnait bien, ça sonnait jeune, ça sonnait tellement samedi matin.
Le générique
«Hey, vas-y molo… Molo!»
Avec le beat de gazou en arrière et l’animation des «bonhommes» aux faces étranges. Sans oublier la classe qui crie «VAZIMOLO!». J’aurais tellement aimé que se soit MA classe.
Et à la fin, quand André Robitaille apparaît en dessin animé et reçoit un ballon sur la tête! Ça me faisait rire à chaque fois. Et j’étais vraiment impressionnée qu’un humain soit en dessin animé. (J’avais 6 ans.)
Le décor
J’aimais le décor coloré et le design en 2D qui donnait l’impression d’être en 3D.
Sans oublier le gros tunnel blanc. Combien de fois j’ai demandé à ma mère si je pouvais avoir la même chose sur les murs de ma chambre! La réponse, toujours la même : «Non, franchement Gabrielle.»
Les personnages
Michel Boudichon, Raynald Laforce, Rodrigue, la Petite Peste et le jumeau d’André Robitaille (DU GÉNIE!). Et évidemment Yvan Boudrias : «Respire dedans!»
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