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L’impudique du métro

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Chez Urbania, on dit souvent «qu’on rend les gens ordinaires extraordinaires». Mais depuis qu’on a lu le blogue, L’inconnu du métro, de Marie Dinkle, on se trouve pas mal ordinaire. Questionnaire.

1. Âge/Sexe/Lieu de résidence?
25 ans , fille, quelque part dans le Val-de-Marne en France

2. Facebook ou Twitter?
J’ai un gros blocage avec Twitter, ce truc me fait vraiment flipper. Je me dis qu’entre Facebook, le blogue, Gmail, Skype, MSN, Google, MySpace si j’ajoute Twitter je fais une croix sur la lueur du jour.

3. À qui s’adresse ton blogue ?
À tout le monde vraiment sans aucune distinction, sauf peut être aux cyniques qui refusent d’admettre qu’on peut être bienveillant sans être cucul la praline.

4. Tes sujets de prédilection :
The others with the others

5. Ton moment de la journée préféré pour bloguer :
Le matin en imaginant les gens dans leur trajet

6. Ton blogueur préféré :
Le blogue de Fonelle, parce qu’elle a des expressions démentes, comme «pipi dingue» ou «chonchon du poney» qui me font hurler de rire.

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7. L’endroit où on risque le plus de te croiser :
En banlieue parisienne quelque part dans le rer A ou le TVM

8. Ton fond d’écran :
En ce moment c’est un vraiment cheesy qui représente un ciel en noir et blanc (!!!!) et je crois que j’ai la flemme de l’enlever !!

9. La chanson que tu as le plus écoutée sur ton iPod :
Scary world theory de Lali Puna

et Shimmy Shimmy Ya de Old dirty Bastard ! Oh baby I like it raaaaw !

10. Le dernier endroit où tu as voyagé :
Je suis partie 6 mois au Vietnam

11. Le secret de ta sauce à spaghetti :
Coriandre et sauce soja

12. La dernière fois que tu as pris de la drogue :
Tout à l’heure, le pot de glace macadamia nuts brittle

13. Ta maison prend en feu, tu sauves quoi en premier ?
Mes fesses ! Puis je reviens héroïquement avec un slow motion de moi explosant la vitre du 5e étage pour sauver un nourrisson qui passait par là.

14. Ta plus grande peur :
Les mouches. C’est pathétique, je sais !

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15. Comment tu aimerais mourir :
Ma grand-mère un peu mégalo nous a carrément sorti un jour : « Je mourrais comme un grand chêne qu’on abat. » Depuis je n’ose plus trop penser à ce genre de truc.

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