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6 histoires sombres qui sont arrivées à Montréal
Connaissez-vous le côté obscur de la métropole?
En Europe, chaque ville avec des rues en pierre peut avoir l’air hantée par des fantômes qui se tiennent là depuis le haut Moyen Âge. Et en général, quand ça ne se passe pas chez nous, on est prêts à croire n’importe quelle légende qui fait peur.
Mais au Québec? À Montréal? Ça semble plutôt tranquille, côté épouvante…
Voici six histoires qui pourraient bien vous faire changer d’idée.
1. Le fantôme de Mary Gallagher
Aujourd’hui, au coin des rues Murray et William dans Griffintown, on retrouve un coin du bâtiment de l’ÉTS, du parking et de la gravelle. Mais en 1879, il y avait là des maisons de bois, dont une où s’est passé le terrible meurtre de Mary Gallagher.
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Le 26 juin de cette année-là, une femme a appelé les policiers parce que sa locataire d’en haut, Susan Kennedy, fait encore du bruit. Bon, oui, elle était reconnue pour boire pas mal et crier souvent, mais là, c ’était plus intense que d’habitude.
À leur arrivée sur les lieux, la scène était terrible : une femme de 38 ans, Mary Gallagher, avait été décapitée à coups de hache, et sa tête avait été placée dans un récipient. L’appartement était une scène de crime à la grandeur, et Susan Kennedy était endormie, ses vêtements pleins de sang.
Les curieux se sont vite attroupés devant la maison et l’affaire a fait les manchettes : les deux femmes étaient considérées à l’époque comme des « prostituées rivales », et deux personnes ont été arrêtées : Susan Kennedy et un certain Michael Flanagan. Susan a été déclarée coupable, mais a continué à plaider son innocence, prétextant qu’un capitaine de bateau inconnu avait fait cela avant de partir de l’appartement…
Depuis, tous les sept ans, Mary Gallagher viendrait hanter les rues de Griffintown, à la recherche de sa tête.
(Les détails ici, si vous êtes aussi fouineux que moi.)
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2. La noyée de la rivière des Prairies
Synopsis rapide : Le 5 octobre 1953, les policiers retrouvent le corps d’une femme dans la rivière des Prairies, avec un bloc de ciment attaché autour du cou. La photo de la femme est diffusée dans les journaux, une enquête est ouverte et on invite le public à passer à la morgue pour identifier le cadavre. Personne n’y arrive.
Aujourd’hui, les corps policiers disent n’avoir aucun dossier d’ouvert à ce sujet…
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Synopsis rapide numéro 2
