Dans le portefeuille de Sara Mbala
Dans le portefeuille de Sara Mbala
Dans le portefeuille de, c’est une série où on fouille sans gêne dans les finances des personnalités publiques et du web. Revenus, dépenses, petites folies ou grosses erreurs, on découvre leur rapport à l’argent sans filtre. Aujourd’hui, c’est la créatrice de contenu Sara Mbala qui vide ses poches et nous dit tout.
Es-tu plus dépensière ou économe?
Dépensière, en transition. Dans ma vingtaine, je dépensais énormément. Et là, dans la trentaine, je commence à me rendre compte que j’ai pas besoin d’autant de vêtements.
T’as combien en économies?
J’ai moins de 3 000 $. Mais, pour ma défense, je viens de prendre une année sabbatique en France et j’ai pas mal vécu de mes économies.
C’est quoi ta meilleure dépense?
Dans les formations, sur la création de contenus, tout ce qui est le bien-être, l’estime de soi. La dernière, je pense que je l’ai payée… C’était 300 $? Je regrette pas parce que je sais que j’ai investi pour quelque chose qui va me rapporter plus tard.
C’est quoi la dépense que tu as le plus regretté?
C’est un espèce de chauffe-eau, ça a coûté 15 $. Je me disais: « Comme je m’assois, je travaille souvent à la maison, ce serait bien d’avoir un chauffe-tasse ». Finalement, ça chauffe pas du tout.
Un achat rêvé mais hors de prix?
Un chalet.
C’est quoi la plus grande leçon qu’on t’aie apprise sur l’argent?
Faut pas avoir peur de l’argent. Il faut d’abord comprendre sa relation avec l’argent. C’est une des leçons que j’ai apprises récemment en écoutant un podcast.
Combien coûte ta routine beauté, par mois?
Je suis entre 250 et 300 $.
C’est quoi le plus gros scam self care?
Penser qu’on doit dépenser énormément pour se sentir bien dans sa peau. Souvent, juste un moment chez toi, en lisant un livre, c’est un self care.
Le produit self care avec le meilleur rapport qualité-prix?
Je dirais une bonne crème hydratante à moins de 30 $. Non, à moins de 50 $.
Ta dépense la plus féministe?
À chaque fois que je dépense mon dollar dans un commerce féminin. Parce que rappelez-vous, avant, on n’avait pas le droit de travailler.