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Portrait

Une bouffée d’air frais dans le monde du travail

Trois employé.e.s de la Sépaq racontent les joies de la nature au travail

Présenté par
Sépaq

Dehors et la Sépaq s’unissent pour promouvoir le travail en plein air et parler des bénéfices que la nature exerce sur le bien-être et l’efficacité professionnelle.

J’adore mon travail de journaliste. Et quand on m’a proposé, pour cet article, de rencontrer de jeunes employé.e.s de la Sépaq ayant choisi de travailler dans les paysages grandioses de notre Belle Province, je dois avouer que je n’ai pas hésité à accepter. Si on me demande de troquer un après-midi de rédaction devant un ordinateur contre une promenade en nature (pour le droit à l’information!), je dis assurément oui – et plus souvent, s’il vous plaît!

Je me suis donc rendu au parc national de la Jacques-Cartier ainsi qu’à la Station touristique Duchesnay, tous deux situés dans l’arrière-pays de la ville de Québec. C’est là que j’ai fait la connaissance de Valérie Drolet, d’Éloi Merlin et de Laurie Couturier, trois employé.e.s de la Sépaq qui témoignent du fait que le grand air peut véritablement transformer une vie… et une carrière. Si je les avais rencontré.e.s plus tôt, j’aurais sans doute choisi plus judicieusement mes premières jobs étudiantes!

Il faut savoir que j’ai fait mes premiers pas sur le marché du travail en tant que commis dans la section fruits et légumes d’une épicerie de quartier. Inutile de dire que je ne commençais pas mon shift en profitant du chant des oiseaux et de l’air frais matinal avant d’affronter ma journée de travail en me sentant énergisé… Le seul moment où je me sentais en « nature », c’était quand les arrosoirs automatiques se déclenchaient.

Dans un monde où les gratte-ciel dominent l’horizon et où la vie professionnelle se résume souvent à des salles de réunion étouffantes, je crois, grâce aux témoignages de Valérie, d’Éloi et de Laurie, que de travailler en plein air améliorerait considérablement ma productivité!

Renouer avec la nature : un bienfait inestimable

Pour Valérie Drolet, préposée à l’accueil depuis deux ans au parc national de la Jacques-Cartier, chaque journée de travail est synonyme d’aventure et de contemplation en forêt. Outre ses fonctions au service à la clientèle, elle occupe le rôle de journalière, ce qui l’appelle à se rendre sur le terrain pour exécuter toutes sortes de tâches liées essentiellement à l’entretien. Ce qu’elle adore par-dessus tout : découvrir tous les coins cachés du parc à dos de motoneige, le territoire étant à la fois vaste et difficilement accessible dans son ensemble.

« Je suis tout le temps dehors et, en plus, j’ai toujours l’impression de redonner au parc grâce à l’entretien. Dès que je rentre travailler, je suis submergée par le calme et la sérénité des lieux. C’est comme si dame Nature me donnait un câlin », raconte avec poésie l’employée de 26 ans.

Éloi Merlin, garde-parc patrouilleur au parc national de la Jacques-Cartier, estime pour sa part que l’essentiel de son travail consiste à préserver l’environnement et à assurer la sécurité des visiteurs. En tant que gardien du territoire et premier répondant en cas de problème, il s’est attribué l’importante mission de sensibiliser la clientèle à la fragilité de nos écosystèmes, affirme-t-il avec conviction. Son rôle consiste à sillonner les nombreux sentiers accessibles afin de promouvoir des pratiques responsables et durables, dans le but ultime de préserver la beauté et la diversité de notre patrimoine naturel pour les générations futures.

« J’adore mon cadre de travail. C’est super d’être dehors et d’être passionné par ce que je fais parce que je ne crois pas que ce soit le cas pour tout le monde, d’être autant motivé par son emploi. »

« Je pense aussi que c’est un luxe, d’être entouré de milieux naturels », témoigne ce Français de 23 ans, qui travaille pour la Sépaq depuis décembre dernier seulement et qui s’est installé au Québec il y a quelques mois à peine.

Bien qu’elle ne soit pas autant à l’extérieur que Valérie et Éloi, Laurie Couturier, serveuse depuis deux ans à la Station touristique Duchesnay, adore les grandes vitres du restaurant, qui permettent d’admirer le majestueux décor de forêts qui abondent au pied des montagnes.

« En plus, avec la carte d’employé de la Sépaq, je bénéficie d’une foule d’avantages et je peux profiter de mon temps libre pour visiter les autres parcs du réseau », ajoute Laurie, qui poursuit une formation en ligne pour devenir courtière hypothécaire.

Un repère pour les passionné.e.s de plein air les plus crinqué.e.s

Décidément, l’esprit de camaraderie règne dans les bois du parc national de la Jacques-Cartier, au point où j’avais l’impression d’être dans un camp de vacances pour adultes en raison de l’amitié indéniable entre les employé.e.s de ce lieu éloigné des grands centres. « On se parle tout le temps avec nos radios, on s’entend tous bien, on s’encourage, l’esprit d’équipe est génial. Pour moi, travailler ici rime avec plaisir, parce quand je punch in, je vais voir mes ami.e.s. C’est le meilleur des deux mondes! », s’exclame Valérie Drolet, pétillante, qui détient un DEP (diplôme d’études professionnelles) en aménagement de la forêt.

Elle considère avoir noué ses amitiés les plus solides au cours des deux dernières années, depuis qu’elle travaille pour la Sépaq.

C’est même là qu’elle a rencontré sa future colocataire. « Le sentiment d’appartenance que j’ai pour l’endroit est si fort que ça m’attriste de voir mes collègues partir pour vivre de nouvelles aventures », me confie-t-elle.

Même son de cloche d’Éloi Merlin. « Il s’agit de mon premier travail au Canada, alors mine de rien, mes collègues sont un peu ma seule famille au pays », souligne-t-il.

De plus, ces paradis du plein air que sont les lieux protégés de la Sépaq attirent toutes sortes de personnes érudites et curieuses, comme des naturalistes, des biologistes, des mycologues, des ornithologues, voire des spécialistes de la libellule (!), raconte notre surveillant des bois, ravi de graviter dans un univers où il est possible d’en apprendre autant sur le monde naturel.

Sans compter que le parc national de la Jacques-Cartier a la réputation d’abriter une des plus belles vallées glaciaires du Québec, située sur un vaste plateau montagneux.

« On peut y observer des castors travailler le long des rivières, des cerfs de Virginie et de nombreuses espèces d’oiseaux forestiers, comme des pics chevelus et des pics mineurs. J’ai été vraiment impressionné par la faune du Québec parce que tout ça était nouveau pour moi », explique Éloi, qui se dit aussi féru de photographie animalière.

Par ailleurs, ce climat qui attire autant de mordus de la nature lui permet évidemment de découvrir toutes sortes d’activités qu’il n’avait jamais essayées dans l’Hexagone, comme la raquette, le ski nordique et le canot. Et le garde-parc patrouilleur ne cache pas son excitation à l’idée que ses pairs lui montreront bientôt à faire le fameux coup en J et à jouer dans les rapides, lui qui n’a encore jamais vécu un été québécois.

Équilibre et épanouissement – plus qu’un simple emploi

Après une bonne journée au boulot, Laurie Couturier adore faire des promenades avec son chien le long des sentiers pittoresques qui entourent son lieu de travail ou s’amuser sur le lac en paddleboard avec sa collègue et amie. Selon elle, cette proximité avec la nature apaise l’esprit, stimule la créativité et renforce les liens avec notre environnement. « C’est génial pour se ressourcer! », s’exclame-t-elle.

Elle invite les gens à tenter l’expérience de travailler pour un établissement de la Sépaq justement pour vivre cette harmonie et pour rencontrer des humains extraordinaires.

La serveuse indique par ailleurs que plusieurs avantages accompagnent l’emploi tels que les rabais sur l’hébergement et les restaurants, et ce, dans tous les parcs du réseau. Avec sa carte membre, elle a eu la chance de visiter différents établissements dont entre autre le magnifique parc national de la Gaspésie et la fameuse Chute Montmorency, se réjouit-elle.
« Venez nous rejoindre! Les gens qui viennent nous visiter sont trippants et l’ambiance est vraiment le fun! », conclut la jeune femme de 22 ans.

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Pour plonger dans l’aventure de la Sépaq et découvrir des métiers exaltants, consultez ici tous les postes offerts pour la saison 2024. Dans ses 24 parcs nationaux, 13 réserves fauniques, huit établissements touristiques et une partie de l’île d’Anticosti, vous trouverez assurément chaussure (ou ski de fond, ou raquette, ou botte de randonnée) à votre pied!