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Pourquoi tu devrais t’inscrire à l’Université de Sherbrooke, selon trois finissants
En collaboration avec l’Université de Sherbrooke, URBANIA vous invite à découvrir l’expérience de la vie universitaire au cœur de l’Estrie, au moyen du témoignage de trois personnes qui l’ont vécue.
Poursuivre ses études postsecondaires, c’est synonyme de faire des choix. Par exemple, à la fin du cégep, celles et ceux qui veulent poursuivre leurs études devront se demander si boire sept cafés par jour est une bonne idée. À part réfléchir à leur consommation de caféine, les étudiants devront également décider de ce qu’ils et elles voudront faire à l’université – ainsi que choisir leur université!
Une des meilleures façons d’en apprendre sur une université, c’est d’en parler avec des étudiant.e.s qui l’ont fréquentée. Aujourd’hui, on se penche sur l’un des établissements du royaume de l’Estrie : l’Université de Sherbrooke! Et parce qu’on veut vous éviter de devoir écrire à votre petit-cousin lointain qui a obtenu son diplôme de l’UdeS en 2006, on a interrogé des finissant.e.s pour qui la vie universitaire sherbrookoise n’a plus de secret.
L’essayer, c’est l’adopter
Année après année, l’UdeS accueille une majorité d’étudiant.e.s venus de l’extérieur de la région – en 2021-2022, c’était 85 %. Ce qu’il faut en conclure, c’est que les étudiant.e.s de l’UdeS la fréquentent par choix, non par défaut, et qu’ils et elles ne regrettent pas leur décision!
Alors, c’est quoi la recette secrète du bonheur sherbrookois? Pour Mathilde Gagné-Roberge, étudiante en troisième année au baccalauréat en orientation, l’approche pratique valorisée à l’Université de Sherbrooke est sans contredit ce qui l’a séduite. Il faut le dire, l’un des éléments qui distinguent l’UdeS des autres universités, c’est sa pédagogie axée sur la mise en pratique des acquis. Après tout, l’université vient d’inaugurer l’Usine-école Siboire, un lieu d’apprentissage fondé par la Faculté de génie qui permet aux étudiants de tous les domaines de réaliser des projets liés à l’industrie brassicole dans un environnement industriel équipé comme une vraie microbrasserie!
Pour Mathilde, l’apprentissage pratique se traduit par trois stages en milieux professionnels, en plus de la possibilité de participer à la Clinique en orientation, où elle rencontre des clients réels qui viennent la voir pour différents services d’orientation.
Gaël Machemin, étudiant en troisième année au baccalauréat en géomatique appliquée à l’environnement, mentionne quant à lui ses stages rémunérés ainsi que le volet d’apprentissage par projet de sa formation. Lors de ces cours, lui et ses coéquipier.ière.s sont associé.e.s à une ville en Estrie avec laquelle ils et elles travaillent pour résoudre un réel problème de pollution d’un lac.
Félix a pu « agir en tant que consultant avec de vrais clients et de vrais mandats en contexte professionnels tout en étant supervisé ».
Même chose pour Félix Bélanger, diplômé du baccalauréat en études de l’environnement depuis décembre. Grâce aux projets intégrateurs du Centre universitaire de formation en environnement et développement durable (CUFE) qui étaient intégrés à son cursus, Félix a pu « agir en tant que consultant avec de vrais clients et de vrais mandats en contexte professionnels tout en étant supervisé ». Bref, le meilleur des deux mondes!
Selon Mathilde, le principal avantage de cette approche pratique est d’évaluer, avant même d’arriver sur le marché du travail, si le domaine qu’elle a choisi lui plaît vraiment. Autre aspect positif qu’elle mentionne : rendue à cette étape de son cursus, elle a senti qu’on l’encourageait, si elle le désirait, à retourner dans son Thetford Mines natal pour effectuer son stage, ce qu’elle fait actuellement. Pour une université composée principalement d’étudiant.e.s venant d’ailleurs au Québec, c’est certainement un gros plus!
Une grande famille
Dès ses premiers instants à Sherbrooke, qu’il qualifie affectueusement de « grand village », Félix se souvient d’avoir découvert un campus vert et à échelle humaine. Mais qu’est-ce que ça veut dire, « un campus vert »? En plus de la végétation dense où il fait bon se rassembler entre amis, il faut savoir que le campus de l’UdeS a récemment atteint la carboneutralité, un objectif qui avait initialement été fixé pour 2030. Ce qu’on comprend, c’est qu’à l’UdeS, il n’y a pas que le logo qui est vert! On sent que les valeurs environnementales qui tiennent à cœur aux étudiant.e.s sont aussi une priorité pour l’université.
Tout comme Gaël et Mathilde, Félix parle aussi de la proximité qu’il entretient avec les gens de sa classe et des visages familiers qu’il croise souvent sur le campus. Bien sûr, les célèbres 5 à 8 contribuent à tisser des liens forts entre les étudiant.e.s, mais l’Université de Sherbrooke a encore plus à offrir, comme les multiples possiblités d’implication dans les associations étudiantes — dans le cas de Félix, avec la Coalition étudiante pour un virage environnemental et social (CEVES).
Au baccalauréat en orientation, Mathilde note la grande disponibilité de ses professeur.e.s, facilement joignables et ouvert.e.s aux questions qu’elle a à leur poser.
Mathilde et Gaël ont également eu le sentiment que l’UdeS a été pensée pour favoriser la création de liens, autant entre les étudiant.e.s qu’avec les professeur.e.s. Au baccalauréat en orientation, Mathilde note la grande disponibilité de ses professeur.e.s, facilement joignables et ouvert.e.s aux questions qu’elle a à leur poser. Preuve ultime que le corps professoral ne fait pas seulement semblant d’être proche de ses étudiant.e.s : Mathilde a une jumelle identique inscrite au même bac qu’elle et ses professeur.e.s arrivent à les différencier!
Pour Gaël, un des points forts des enseignants de géomatique est qu’ils pratiquent activement leur métier. Il donne l’exemple d’un professeur qui s’était absenté pour aller étudier les conditions de neige en Arctique. L’avantage est que les professeur.e.s rapportent ensuite leurs observations de terrain dans la salle de classe, ajoutant au cours de la matière concrète et appliquée. Comme l’étudiant en géomatique veut poursuivre ses études à la maîtrise, il s’estime chanceux d’avoir accès à des professeur.e.s qui sont passé.e.s par là et qui l’encouragent dans cette voie.
Finalement, nous avons demandé aux trois étudiants de faire un rapide pitch de vente à l’intention d’un.e autre étudiant.e hésitant à s’inscrire à l’UdeS. Le mot de la fin revient à Félix, qui s’est exclamé sans hésitation : « Sérieux, viens-t’en, tu vas triper! »
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