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Pourquoi je suis tombée en amour avec la Ville de Québec

Non, Québec, ce n’est pas un village.

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URBANIA et l’Université Laval s’unissent pour vous présenter tous les avantages de déménager à Québec pour poursuivre vos études.

À l’été 2019, je quittais mon grand village pour m’installer dans un plus petit village dans le but de poursuivre la maîtrise de mes rêves en communication publique à l’Université Laval.

Sur la route, mon père tentait de me rassurer à l’aide de phrases du genre « tu vas voir, Québec, c’est vraiment beau », alors que j’écoutais en boucle la toune Sign of the Times de Harry Styles assise sur le siège passager, les yeux rivés sur la rangée de conifères qui bordent la 20.

Je débarquais dans la Capitale-Nationale pour poursuivre mes études universitaires avec un tas d’appréhensions, à la découverte des gens qui disent « balèènes » et « potteau ».

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Pendant que je trimballais mon stock jusqu’au quatrième étage de mon nouvel appartement dans Sainte-Foy, j’avais un peu la larme à l’œil. Adieu les terrasses du Plateau, la frénésie de la rue Sainte-Catherine et mon ascension dominicale du mont Royal.

Je débarquais dans la Capitale-Nationale pour poursuivre mes études universitaires avec un tas d’appréhensions, à la découverte des gens qui disent « balèènes » et « potteau ».

Deux ans plus tard, mon discours est tout autre. Québec, c’est devenu mon chez-moi. Et l’Université Laval m’a apprivoisée (ou le contraire) et séduite. J’y ai pris mes repères, créé mon cercle d’amis, bâti ma routine et déniché mes endroits préférés.

La plus ancienne université francophone du Canada est construite dans un écrin naturel de verdure. En automne, la route menant à l’université révèle ses couleurs orangées, et un sentier de randonnée conduit les étudiants au campus universitaire. L’équipe de football du Rouge et Or a repris ses entraînements. Les joggeurs matinaux convergent vers la piste d’athlétisme du PEPS. Et la température clémente permet de profiter des derniers jours de la terrasse du café étudiant le Fou AELIÉS, qui offre la plus grande sélection de scotchs en ville et permet de nouer des amitiés.

les professeurs sont accessibles et compétents, et seront de bons conseils pour les années à venir, étudiante ou pas.

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Sans oublier l’expérience scolaire, qui s’annonce des plus enrichissantes. Les gens de ma cohorte sont devenus des amis pour la vie, mais aussi de fiables contacts pour l’avenir. Quant à mes professeurs, je suis toujours la bienvenue dans leur bureau, surtout lors des crises existentielles où je doute de mes compétences ou remets en question mon domaine d’étude. Même après l’obtention de notre diplôme, ils demeurent disponibles pour nous aider à naviguer dans le monde du travail, ses incertitudes, ses joies comme ses déceptions. Bref, ils sont accessibles et compétents, et seront de bons conseils pour les années à venir, étudiante ou pas.

Quant aux formules d’enseignement, j’ai de la chance qu’elles soient flexibles (en présentiel, à distance ou hybride). Ça me permet de libérer du temps pour aller cueillir des pommes à l’île d’Orléans, admirer les couleurs dans le Parc national de la Jacques-Cartier, bouquiner dans les librairies indépendantes de la ville et me balader dans le Vieux-Québec, telle une touriste dans sa propre ville (cliché no 1).

la ville est tellement féérique à cette période de l’année qu’on en oublie la température glaciale.

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Puis, l’hiver, pour me dégourdir, je vais faire du ski de fond sur les plaines d’Abraham et j’organise des virées de snow au mont Sainte-Anne. Et pour me déconfiner, je me plais à aller admirer les illuminations dans la vieille ville, et à me rincer l’œil au Musée national des beaux-arts du Québec, qui a une programmation de feu (Frida Kahlo, William Turner, Picasso). Bref, la ville est tellement féérique à cette période de l’année qu’on en oublie la température glaciale (cliché no 2).

Sur le campus, les fat bikes envahissent la piste cyclable déneigée du campus nordique, et j’aperçois déjà les premiers fondeurs dans les coins les plus inusités. Afin de nous permettre de circuler à l’abri des intempéries, des kilomètres de tunnel facilitent les déplacements entre les pavillons. Et entre deux séances de cours, je me rends au quatrième étage de la bibliothèque pour étudier et admirer la ville emmitouflée dans son manteau blanc, ou je vais finaliser mon Power Point au Café Stockholm, à deux pas de l’université.

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Dès les premiers rayons du printemps, les rues piétonnes s’animent et les gens troquent leur manteau Kanuk pour un trench coat acheté chez Simons, et les festivals d’été dévoilent leur programmation. Alors que la neige fond peu à peu, la verdure se pointe le bout du nez sur le campus. Sans oublier la floraison toujours impressionnante au Jardin universitaire Roger-Van den Hende.

Enfin l’été, ma saison préférée, annonce des pique-niques mémorables dans le parc Victoria et une escapade au parc des Chutes-de-la-Chaudière pour se rafraîchir le bas du corps. Et pourquoi pas s’offrir une p’tite molle au Glacier Aberdeen? En soirée, je rejoins ma bande d’amis à la terrasse du bar Le Sacrilège, puis, à l’arrivée du long week-end de la Saint-Jean ou de la fête du Canada, je me permets un roadtrip au Saguenay ou en Gaspésie, beaucoup plus accessibles à partir de Québec!

On dit que Québec, ça ressemble à une carte postale, pis je dirais que c’est un peu vrai (cliché no 3). C’est bien une ville à échelle humaine, et le campus de l’Université Laval reflète tout à fait cette dynamique!

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Il y a deux ans, j’ai accepté de poursuivre mes études à la maîtrise de mes rêves à l’Université Laval. Et ce n’est pas l’offre qui y manque : 500 programmes y sont offerts, tous cycles confondus, dont une centaine de baccalauréats, 90 % proposant des stages (la plupart rémunérés) et quelque 280 aux cycles supérieurs offerts dans tous les domaines du savoir.

Toutes ces options constituent décidément un tremplin idéal pour entamer (ou poursuivre) sa vie scolaire et professionnelle du bon pied!

Faites comme moi, vous ne le regretterez pas.

Signé : une fille qui soutiendrait sûrement les Nordiques plutôt que les Canadiens!

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