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Petit guide pour faire un choix éclairé d’études collégiales ou universitaires

Parce que ChatGPT ne pourra pas le faire pour vous.

Par
Garry Gid
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Le Guide des universités URBANIA et le programme de bourses Perspective Québec sont fiers de s’unir pour vous proposer des outils qui vont vous soutenir lors de votre inscription aux études postsecondaires à temps plein.


C’est tout un défi de déterminer dans quel domaine se diriger, surtout quand vient le temps de passer dans la cour des grands et de s’inscrire au cégep ou à l’université. Il y a tellement de programmes, de cours… et de campus!

Parce qu’on se sentait généreux, au Guide des universités URBANIA, on s’est dit que ce serait « pas pire » de monter un petit guide pour vous aider à choisir votre domaine d’études si vous êtes toujours face au néant alors que la période des inscriptions approche à grands pas.

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Et si jamais on réussit notre mission, sachez que les bourses Perspective Québec sont là pour vous encourager à aller de l’avant dans vos études à temps plein dans des programmes super intéressants ayant d’excellents débouchés. Imaginez : vous pourriez recevoir 1 500 $ au collégial ou 2 500 $ à l’université par session d’études!

On s’est donc entretenus avec Amélie Marquis-Angulo, qui étudie présentement à l’UQAM (Université du Québec à Montréal) au baccalauréat en développement de carrière. Parce que tant qu’à parler avec une pro des choix de carrière, pourquoi ne pas faire un article avec une étudiante, pour des étudiant.e.s!

TOUT D’ABORD, ON S’INFORME ET ON RÉFLÉCHIT

Avant de s’engager dans une introspection professionnelle démesurée, c’est essentiel de s’informer sur ce que le monde peut nous offrir, et c’est ce qu’Amélie suggère : « C’est important de prendre le temps de se renseigner sur les programmes offerts par les bourses et les différentes universités et leurs conditions d’admission. Il faut lire attentivement leur description et s’intéresser à ce qui les distingue les uns des autres, aux options de cours et aux implications possibles au sein de la vie étudiante. C’est en s’informant qu’on peut tomber sur des domaines d’études qui vont piquer notre curiosité », nous conseille Amélie.

Mais ça ne s’arrête pas là.

« Pendant qu’on y est, pourquoi ne pas s’informer sur les débouchés professionnels des différents programmes? À quoi ressemble le milieu vers lequel on se dirige, le quotidien des travailleurs? En analysant les perspectives professionnelles d’un domaine qui nous intéresse, on peut visualiser notre propre avenir. »

Ensuite vient l’étape la plus difficile : jumeler les options qui s’ouvrent à nous à nos champs d’intérêt.

C’est toujours plus facile à dire qu’à faire, se connaître. Surtout quand on est encore jeune et qu’on se construit chaque jour (#namasté). Mais, comme nous l’expliquait Amélie, il y a quelques grandes questions qu’on peut se poser pour s’aider dans sa réflexion.

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« Il y a plusieurs trucs à considérer pour apprendre à se connaître. Tout d’abord, un excellent point de départ, c’est de définir ses valeurs et ses champs d’intérêt. Mais c’est aussi important de savoir que ce n’est pas nécessairement tout le monde qui a de grandes passions qui dictent leur quotidien. On n’a pas besoin d’étudier dans un domaine qui se rattache à une passion pure et dure non plus. Dans ce cas, pour déceler ses champs d’intérêt, on peut se poser comme questions “Dans quoi je me sens bon.ne?” et “Dans quelle situation je me sens à mon meilleur?”. »

Voilà une première étape de terminée! En plus, c’est pas mal le plus grand défi à relever!

LES PIÈGES À ÉVITER

Ah ça, pour en avoir, des pièges, il y en a. Cela va sembler légèrement cliché, mais c’est primordial de les connaître.

« C’est certain qu’il y a des erreurs à ne pas faire. Il ne faut évidemment pas céder à la pression de son entourage, par exemple à celle de ses parents. Et si ce n’est pas évident à faire, il y a des outils qu’on peut se donner pour prendre la bonne décision, comme dresser une liste de pour et de contre ou même prendre un peu de recul sur son environnement. Si on souhaite aller plus loin, je conseille aussi fortement de ne pas hésiter à se tourner vers des professionnels. »

NDLR : si on a inventé les conseillers en orientation… c’est bien pour quelque chose! De retour à notre programme.


« Et le manque d’informations sur un domaine d’études qui nous intéresse peut être le piège le plus récurrent, explique Amélie. Si on a fait des recherches, mais qu’on manque encore d’info, il faut poser des questions. On peut parler à des responsables de programmes, observer des milieux de travail… Il faut se mettre le nez dedans! »

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Si, malgré tous ces trucs et astuces, vous êtes encore incertain.e et que la montagne à gravir est trop haute… prenez une grande respiration, demandez à votre petit hamster mental d’arrêter de courir et lisez attentivement ce qu’Amélie a à dire sur le sujet : « Parfois, il faut accepter une certaine incertitude et juste essayer des choses. Est-ce que c’est correct de se tromper? Absolument. Ce n’est pas une erreur de sauter dans le vide. C’est normal que ça soit stressant et on peut toujours être accompagné là-dedans. »

Il existe d’ailleurs des bourses qui peuvent vous encourager à faire le saut, comme les bourses Perspective Québec, surtout si l’enseignement, le génie, les technologies de l’information, la santé et les services sociaux ou les services de garde éducatifs à l’enfance vous intéressent.


Bref, ce n’est jamais évident de choisir son programme d’études, mais lorsqu’on a les bons outils et qu’on est prêt à essayer des choses, l’univers des possibles s’ouvre devant soi.

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En espérant que ce petit pep talk vous aura aidé.e dans votre choix d’un programme!

À propos de bons outils pour vous accompagner, avez-vous entendu parler du programme de bourses Perspective Québec? Si vous êtes admissible, vous pourriez recevoir 1 500 $ au collégial ou 2 500 $ à l’université par session d’études terminée réussie! Découvrez les programmes admissibles en cliquant ici.