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L’UdeS : une université pour les amoureux du plein air
URBANIA et l’Université de Sherbrooke s’unissent afin de vous faire découvrir un établissement d’enseignement situé à deux pas d’une foule d’activités de plein air.
Plusieurs facteurs pèsent dans la balance lorsque vient le temps de choisir son université. Certes, un programme intéressant est le premier critère sur la liste. Cela dit, une fois cette case cochée, le choix sera souvent influencé par la qualité du milieu de vie, la réputation de l’établissement auprès de futurs employeurs, et j’en passe!
Et si, pour vous, un de ces facteurs était l’accessibilité de lieux de plein air? Dans ce cas, l’Université de Sherbrooke serait un match parfait! (Ajoutez ici le son d’une application de rencontre.)
Voici quelques recommandations d’une étudiante et d’une diplômée qui tiennent le logo de l’UdeS en très haute estime, presque autant que celui de leur marque de matériel de plein air préférée.
Le parc du Mont-Bellevue
Les universités pouvant se vanter d’avoir une réserve naturelle à même leur campus ne sont pas très nombreuses. L’Université de Sherbrooke compte parmi ces heureuses élues. En effet, elle est propriétaire d’environ 75 % de toute la superficie du parc du Mont-Bellevue, un espace d’une grande valeur écologique. À ce sujet, il faut savoir qu’outre la possibilité de s’y adonner à des activités extérieures, il s’agit d’un véritable terrain d’enseignement et de recherche pour les étudiant.e.s et pour les chercheur.euse.s!
Pour la diplômée du baccalauréat en communication appliquée Maude Saulnier, le parc était en fait son arrière-cour, ainsi qu’un lieu idéal pour la course en sentier. Habitant dans les résidences étudiantes Le Montagnais, situées derrière la Faculté des sciences, elle avait un accès privilégié à ce parc.
« Quand je sortais de chez moi, j’avais, directement dans ma face, des sentiers de marche. Ça, c’était vraiment hot », me lance-t-elle, encore émerveillée.
Découvrant sur une carte les 30 kilomètres de sentiers répartis sur 200 hectares, je dois avouer que je peux comprendre son excitation. En hiver, les amateurs de ski de fond, de raquette et de fatbike prennent l’endroit d’assaut – et il y a même une remontée mécanique pour le ski alpin!
Selon l’étudiante en droit Laurence Cournoyer, en dehors de cette période, l’activité la plus prisée est le vélo de montagne. Même si elle réside en dehors du campus, Laurence se rend régulièrement au parc. « J’y vais chaque semaine! », s’exclame-t-elle. Si vous faites partie des adeptes, sachez qu’il est possible de louer des vélos de montagne sur place et de profiter de 16 km de sentiers cotés de « facile » à « expert ».
Le parc Lucien-Blanchard
Situé à une quinzaine de minutes de marche du campus principal, ou à moins de cinq minutes à vélo, le parc Lucien-Blanchard était un lieu très prisé par Maude Saulnier, surtout pour le volleyball de plage.
Après un cours ou lors d’un après-midi de fin de semaine, c’était le lieu de rencontre par excellence de son groupe d’ami.e.s : « L’été, on s’y rendait parfois jusqu’à deux fois par semaine! ». On peut même y penser pour organiser une séance d’étude au bord de l’eau quand le temps s’y prête!
La proximité de ce lieu permettait d’y organiser des activités de manière spontanée. « Quelqu’un callait un “parc Blanchard”, et ceux qui pouvaient y allaient! », me raconte-t-elle.
Le volleyball de plage était leur activité de prédilection notamment en raison… de la plage. (Je sais : je suis perspicace.) Le parc étant situé aux abords de la rivière Magog, on peut s’y baigner en eau libre tous les jours de la fin juin à la fin août. Et celles et ceux qui trouvent que « le ballon fait trop mal aux avant-bras » peuvent décider d’emprunter plutôt un réseau de sentiers boisés à partir du parc. On peut aussi louer un kayak ou un paddleboard sur place – ou y emporter le sien!
Le parc national du Mont-Orford
Si vous possédez une voiture – ou avez des amis généreux –, le monde du plein air des Cantons-de-l’Est s’ouvre à vous, y compris, bien sûr, le parc national du Mont-Orford.
« C’est vraiment la destination numéro un! », m’explique Laurence Cournoyer. Même son de cloche du côté de Maude Saulnier, qui, cinq ans après la fin de ses études, conserve un lien privilégié avec l’endroit. À l’époque, chaque année, « dans le temps des couleurs », elle allait y faire une randonnée avec sa gang. « Aujourd’hui, même si je ne suis plus à Sherbrooke, j’aime encore y aller chaque année avec mes ami.e.s », dit-elle – comme si ses souvenirs universitaires se perpétuaient grâce à cette activité.
Il faut dire qu’en matière de randonnée, les adeptes y trouvent leur compte. Il est possible d’y parcourir plus de 80 kilomètres de sentiers en été! Pour ce qui est de l’hiver, la renommée du parc n’est plus à faire pour le ski alpin, la rando alpine et le ski de fond, et des raquettes et des fatbikes sont offerts en location.
D’autres recommandations en rafale
Je m’en voudrais sincèrement de ne pas vous faire part des autres recommandations de l’étudiante en droit Laurence Cournoyer et de la diplômée en communication appliquée Maude Saulnier, j’aurais l’impression de bâcler mon travail. Les voici :
- Le sentier glacé aux abords du lac Memphrémagog, à Magog. À environ 25 min de voiture du campus principal, 2,8 km de patinage vous attendent, comprenant quatre boucles sinueuses! « Hyper romantique, hyper mignon », me souffle Laurence.
- La promenade du Lac-des-Nations, à environ 5 min de voiture du campus principal, est une boucle de 3,5 km entourant le lac du même nom. Entièrement asphaltée, elle est l’endroit idéal pour la course, le vélo et le patin à roues alignées.
- La base de plein air André-Nadeau. Été comme hiver, c’est la Mecque de l’activité extérieure : patin, marche, ski de fond, fatbike, glissade sur chambre à air. En plus, l’accès aux sentiers est gratuit en tout temps!
- Le centre de villégiature Jouvence. Il est situé à même le parc national du Mont-Orford. On y offre de l’hébergement et des activités extérieures.
Selon Maude Saulnier (et de nombreuses autres personnes interrogées), la proximité de l’UdeS avec la nature incite les étudiant.e.s à adopter de saines habitudes de vie.
« Si j’étais allée à l’université la plus près de ma ville natale, Terrebonne, au nord de Montréal, je n’aurais pas fait tout ce sport-là; j’aurais perdu ma motivation à cause de la route, du métro, du transport… », explique-t-elle.
Quant à Laurence Cournoyer, cette panoplie d’activités extérieures la motivait à ne pas systématiquement retourner chez ses parents les fins de semaine. « On n’a pas besoin de toujours revenir à Montréal. Je sens que je peux rester à Sherbrooke et quand même profiter d’une foule d’activités. C’est important pour solidifier les amitiés que j’y ai créées! », conclut la future bachelière en droit.
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Toutes ces possibilités de faire des activités en plein air pendant vos études universitaires vous séduisent? Certains baccalauréats sont toujours ouverts à l’admission et il est encore temps de présenter votre demande pour l’automne 2024. Faites vite et joignez-vous à la grande famille de l’UdeS!