Les pires et meilleures dépenses de Noémie Leduc-Vaudry

Quand on s’est entretenu avec Noémie Leduc-Vaudry, elle était fraîchement revenue du Festival Canneseries pour présenter L’air d’aller, la toute première fiction produite par URBANIA. Dans cette émission, la jeune actrice interprète Cindy qui, comme le reste de son groupe d’ami.e.s, est atteinte de fibrose kystique. Une série poignante, qui aborde la mort et la maladie avec un humour et un regard bien différent, ce qui lui a valu le Prix des étudiants à Cannes.

On s’est donc dit que ça serait le bon moment de parler avec Noémie de ses dépenses, de ses bons coups financiers et des trucs qu’elle ne rachètera plus jamais!

Quelles sont tes habitudes de consommation? Es-tu plus dans le clan shopaholic ou épargne?
Je dirais que je suis vraiment dans le milieu. J’essaie de m’améliorer à mettre de l’argent de côté, surtout que, quand on est pigiste, le futur financier est toujours incertain. Et je suis quelqu’un de très organisé dans la vie.

Mais j’aime aussi beaucoup les vêtements, j’en ai vraiment beaucoup! (rires)

Quelle est ton habitude qui te coûte le plus cher?
Les vêtements! Même récemment pour Cannes, je suis allée magasiner pour avoir des outfits pour le jour comme pour les réceptions. Mais bon, il y a des kits que j’ai achetés chez Zara, je ne suis pas non plus obsédée par les marques de luxe.

Sinon, les restos sont probablement ma principale dépense; J’ADORE manger!

C’est quoi ta dernière dépense dont tu ne peux plus te passer?
Mon VitaMix! Je l’utilise beaucoup pour faire des smoothies, mais je peux aussi faire des soupes et toutes sortes de recettes avec.

Dans la dernière année, j’ai eu beaucoup de différents rôles et j’ai eu des problèmes avec ma peau. Alors j’ai beaucoup dépensé dans des produits de soins pour la peau et pour le visage. Quand tu travailles dans un milieu basé sur l’image, tu veux éviter d’avoir de l’acné ou des problèmes du genre. Alors c’est un des investissements que j’ai fait.

Ton meilleur souvenir de voyage?
Je voyage beaucoup et chaque fois, je ramène des bijoux. Entre autres, lorsque j’étais au Maroc, j’ai acheté un pendentif en main de Fatma.

Un plaisir coupable sur lequel t’as pas peur de dépenser
Les voyages! J’ai beaucoup voyagé et il n’y a jamais eu un séjour que j’ai regretté. Quand on part avec des ami.e.s, c’est toujours moi qui planifie l’itinéraire. Je vais aller sur tous les sites de recommandations locales, je pin un million d’endroits dans Google Maps… Par contre, ce n’est pas moi qui s’occupe des finances!

Un item qui ne te quitte jamais?
Eh bien c’est drôle, mais récemment j’ai acquis un bracelet en or qui est soudé et que je ne peux donc pas enlever. Donc il ne me quitte jamais!

Y a-t-il quelque chose que tu collectionnes?
Les bijoux! (rires) J’en achète à chaque voyage et j’ai une bonne collection de colliers, de bagues vintage, mais aussi quelques pièces de créateurs.

Un artiste pour lequel tu paierais 1 000 $ ta place de concert?
Justement, j’ai une histoire : comme la plupart de ma famille, je suis une grosse fan de musique québécoise. L’an dernier, Marjo avait annoncé un spectacle, alors j’ai acheté mes places. J’étais en tournage jusqu’à 17h et le spectacle commençait à 20h, alors je me suis dit que j’avais le temps. Finalement, on a terminé de tourner beaucoup plus tard que prévu et j’ai manqué le concert!

Plus récemment, j’avais trouvé d’autres billets pour aller la voir, mais le spectacle a eu lieu pendant qu’on était à Cannes! Heureusement, je l’ai déjà vue en concert et je sais que je la reverrai.

Sinon, je suis une fan FINIE de Céline. Je paierais cher pour la revoir mille fois en show! Même si les billets de spectacles sont de moins en moins achetables, je pourrais toujours débloquer un budget pour notre trésor national!

Une dépense que tu ne referais plus jamais?
C’est le genre de chose où il ne faut jamais dire jamais, mais une dépense que j’aimerais ne jamais avoir à refaire, ce serait des rénovations! On a dû en faire durant la pandémie, alors que les prix étaient exorbitants. Mais le pire là-dedans, c’est qu’on a dû les refaire parce que ça avait mal été fait.

Je dois dire qu’avec YouTube, j’ai découvert qu’il y a plein de choses que je suis capable de faire moi-même!