.jpg)
Le rêve universitaire
L’Université de Sherbrooke s’allie à URBANIA pour vous rappeler toute l’effervescence qu’on peut vivre sur son campus.
Je n’ai jamais compris celles et ceux qui associent l’école secondaire à leurs « bonnes années ». Il y a pour moi un je ne sais quoi de plutôt déprimant à l’idée que mes bonnes années se seraient passées dans le sous-sol de mes parents à faire des devoirs de mathématiques. À cette époque, je rêvais à un autre genre de vie scolaire, probablement à cause de ma consommation soutenue de films et de séries feel good pour jeunes adultes.
J’enviais les activités parascolaires de Viola dans She’s the Man et celles de Beca dans Pitch Perfect. Je m’imaginais vivre avec mes ami.e.s dans une maison comme celle de Shelley dans Super Blonde. Je rêvais de faire partie d’un groupe d’am.i.e.s ouvert et intéressant comme celui de Charlie dans The Perks of Being a Wallflower. Une chose était pour moi très claire : ce genre de vie ne pouvait se vivre que sur un campus universitaire.
J’avais d’ailleurs eu la chance d’aller visiter la résidence de mon frère aîné à l’Université de Sherbrooke et je m’étais émerveillé devant la vie qu’il y menait. J’étais impatient à l’idée d’en arriver moi aussi à cette étape de la vie pour plusieurs raisons, et c’est ce qui m’a amené à choisir à mon tour l’UdeS quelques années plus tard. Voici pourquoi.
UN GRAND TERRAIN DE JEU
Selon moi, l’arrivée d’un.e nouvel.le étudiant.e sur le campus de son université est un moment marquant. À l’écran, cette toute nouvelle aventure a été représentée dans une multitude de productions, dont Good Will Hunting et Pitch Perfect.
Ces œuvres nous plongent au cœur d’un campus à l’aide d’une succession de plans larges attrayants, images que j’ai longtemps associées à mon arrivée à l’uni. On parle ici de grandes étendues vertes grouillant de jeunes adultes et d’une foule de bâtiments abritant les facultés de l’établissement.
Bien qu’au Québec, ce genre d’endroit ne court pas les rues, j’ai eu la chance de concrétiser mon fantasme d’adolescence en foulant le sol du campus de l’Université de Sherbrooke pour la première fois. Avec une population étudiante annuelle avoisinant les 40 000, Sherby se distingue par sa forte concentration d’étudiant.e.s, et c’est ce qui l’anime au fil des sessions universitaires. Il s’agissait pour moi d’un lieu tout indiqué pour entamer ma vie de jeune adulte.
UNE ÉQUIPE SPORTIVE LOCALE RASSEMBLEUSE
J’ai pour mon dire que les après-midi bouillants passés à encourager l’équipe sportive de son école (ou à s’y démener lors d’un match) dénotent le plaisir que l’on éprouve à se retrouver entre collègues de classe et le sentiment d’appartenance que l’on a envers son établissement d’enseignement. On peut penser aux scènes de quidditch dans Harry Potter ou à l’importance du sport dans She’s the Man. Dans les deux cas, la fébrilité des partisan.e.s qui assistent aux matchs transparaît à l’écran, et ce sont des moments que je me suis longtemps imaginé vivre en grandissant.
Et je n’ai pas été déçu : l’ambiance d’un tailgate universitaire est électrisante. Je ne peux pas compter le nombre de fois où je me suis vu revêtir les couleurs du Vert & Or pour encourager l’équipe de football de l’UdeS entouré de camarades de classe rapidement devenus des ami.e.s. Ces après-midi à l’extérieur sont des souvenirs que je chérirai longtemps. Et il n’y a pas que du football à l’Université de Sherbrooke! L’atmosphère des matchs de volleyball est tout aussi euphorisante. D’ailleurs, l’Université domine le classement québécois, autant du côté des équipes féminines que des masculines.
DU FUN PARTOUT (OUI, OUI, MÊME EN CLASSE)
Bien que l’université serve à nous former pour notre future carrière, c’est surtout les liens qu’on y tisse avec les autres étudiant.e.s qui définissent ce passage de nos vies.
Ces amitiés qui nous tombent souvent dessus un peu malgré nous deviennent des relations qu’on chérit le restant de nos jours.
On peut aisément le voir dans The Social Network, un film qui retrace la création d’un réseau social bien connu par un groupe de camarades de classe. En plus d’exposer les succès et les conflits de ces jeunes étudiants-entrepreneurs, le film décrit très bien les relations interpersonnelles fortes qui en découlent.
Je vous assure qu’il n’y a pas grand-chose qui rapproche autant deux personnes que les heures qu’elles ont consacrées ensemble à un faux business case dans le cadre d’un cours d’entrepreneuriat. Encore à ce jour, certaines de mes amitiés les plus solides sont celles qui se sont tissées lors de mon passage à l’UdeS, et c’est en grande partie grâce au côté humain et chaleureux de cette Université. Et parlant de cours, rappelons que Sherbrooke est réputée pour ses méthodes d’apprentissage par la pratique et son régime de stages coopératifs. Les étudiant.e.s peuvent y alterner les sessions d’études et de stages pour accumuler de l’expérience professionnelle avant même de terminer leurs études.
Des années plus tard, même si ma vie continue de se ponctuer de moments charnières, je dois avouer que mon passage à l’UdeS a été un moment heureux et qu’il s’est taillé une place sacrée dans mon parcours, tant personnel que professionnel.
—
La vie étudiante à l’Université de Sherbrooke n’a rien à envier à celle des films cultes que l’on regardait en grandissant. Que ce soit pour y commencer un bac ou pour y poursuivre vos études aux cycles supérieurs, vous apprécierez sans aucun doute l’approche chaleureuse de cet établissement. D’ailleurs, les prochaines Portes ouvertes sont le samedi 10 février.
Découvrez-en plus ici!