Pour plusieurs, la crise de la quarantaine est synonyme d’achat impulsif, de bouleversements relationnels et pour d’autres… d’achat de 135 acres de terrain en pleine forêt.
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Farouche, c’est l’aboutissement de la crise de milieu de vie du couple formé par Geneviève Côté et Jonathan Casaubon. Les deux rêveurs originaires de Montréal ont acheté cette terre enveloppée par les montagnes de Mont-Tremblant avec l’ambition de créer un lieu où il fait bon vivre, jouer, manger et dormir.
À seulement 7 minutes de voiture du versant nord de Tremblant, on découvre une oasis qui réussit à nous charmer malgré l’abondance de moustiques qui viennent avec le mois de juin.
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L’histoire d’un coup de coeur
En entrevue, Geneviève confie avoir ressenti un immense frisson lorsqu’elle a posé les pieds sur le terrain niché dans la vallée du Diable pour la première fois. Bien qu’ils connaissaient déjà bien le secteur, ils étaient loin de se douter que Farouche deviendrait ce qu’il est aujourd’hui.
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À travers les années, le couple a multiplié les projets : les quatre chalets originaux sont rapidement devenus sept, une buvette est née non loin des terrains, et une ferme maraîchère prend de plus en plus d’ampleur de l’autre côté de la rue.
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Des refuges d’architecte
Le couple a fait confiance à la firme d’architecture Atelier L’Abri pour la conception des refuges et de la buvette. Recouverts de bardeaux de cèdre, les sept chalets de type A-frame évoquent un petit village au cœur de la forêt.
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À l’intérieur de ces refuges, on retrouve un grand lit (très confortable, il faut le dire), une banquette de lecture et un petit poêle au gaz. Selon le forfait choisi, les visiteurs ont accès à une salle de bain luxueuse qui leur est entièrement dédiée, ou ils peuvent partager leur salle de bain avec celle d’un autre refuge.
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Si chaque refuge est équipé d’un mini-frigo et d’une cafetière, c’est plutôt à l’extérieur qu’on se retrouve pour la préparation des repas : bbq, brûleur au propane, table à pique-nique et deux chaises Adirondack sont mis à la disposition des occupants.
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En plus, tous les refuges peuvent profiter des commodités du site, dont le bain nordique, la rivière qui borde le site et la ferme maraîchère et la buvette.
Une programmation variée
Les propriétaires insistent toutefois qu’il n’est pas nécessaire de se loger dans un chalet pour profiter de Farouche. Que ce soit pour y passer la journée ou pour s’y installer quelques jours, tout le monde y trouvera son compte.
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Alors que certaines personnes feront du vélo électrique, d’autres descendront la rivière du Diable en SUP jusqu’au parc du Mont-Tremblant alors que d’autres se détendront sur la plage de sable blond aux abords de la rivière. On peut aussi savourer un un pique-nique gourmand sur les tables à pique-nique disposées un peu partout sur la propriété.
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Les chiens sont les bienvenus en refuge comme sur le site.
Retrouvez la programmation estivale de Farouche ici
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