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FAQ sur la fac : TÉLUQ

L’universitĂ© Ă  distance, sans compromis.

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La TÉLUQ, c’est une universitĂ© en ligne avec deux emplacements physiques que certains Ă©tudiants ne visiteront jamais : l’un Ă  QuĂ©bec et l’autre Ă  MontrĂ©al.

Les pavillons servent principalement de bureaux pour les professeurs et les tuteurs. C’est lĂ  que sont enregistrĂ©es les capsules vidĂ©o de nos cours et que nous pouvons allez faire nos examens. Les Ă©tudiants habitant en rĂ©gion Ă©loignĂ©s ne vont jamais Ă  l’un des deux pavillons.

Et c’est ce qui fait le charme de la TÉLUQ; y Ă©tudier c’est avoir l’opportunitĂ© de choisir son parcours, son rythme de progression et surtout de ne pas avoir Ă  faire de compromis. C’est aussi se choisir soi-mĂȘme, que ce soit par un retour aux Ă©tudes Ă  temps plein, pour allier efficacement marchĂ© du travail et scolaritĂ©, pour prendre quelques cours par plaisir ou encore pour poursuivre une formation continue parce qu’on aime trop l’école.

Mission self-care

La TÉLUQ, c’est une universitĂ© qui a compris qu’on a des vies occupĂ©es, et qu’on ne veut pas (ou ne peut pas) la mettre sur pause le temps d’une ou de six sessions. Elle permet, oui, d’étudier dans son lit avec son chat (elles sont vraies les pubs!), mais aussi de prendre de l’avance pendant l’heure de diner au travail, un jour fĂ©riĂ© ou pendant les siestes de son enfant.

La TÉLUQ, c’est une universitĂ© qui a compris qu’on a des vies occupĂ©es, et qu’on ne veut pas (ou ne peut pas) la mettre sur pause le temps d’une ou de six sessions.

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Mais flexibilitĂ© ne rime pas nĂ©cessairement avec «facilité». Obtenir un diplĂŽme ou encore un certificat de la TÉLUQ c’est aussi une grande responsabilitĂ© et ce n’est pas fait pour tous les Ă©tudiants. Il faut ĂȘtre prĂȘt Ă  Ă©tudier individuellement et ĂȘtre suffisamment motivĂ© pour persĂ©vĂ©rer malgrĂ© le manque de volontĂ© qui peut parfois se pointer quand on est seul trop longtemps devant notre ordinateur.

Une communauté virtuelle

Les cours en ligne exigent aussi une grande motivation, car il n’y a pas de plages horaires Ă  respecter, trĂšs peu d’échĂ©ances fixes et peu d’accompagnement Ă  moins d’en faire la demande. Par contre, on peut toujours se tourner vers le groupe Facebook des Ă©tudiants de la TÉLUQ oĂč j’ai dĂ©couvert une communautĂ© de plus de 3000. Ils sont cachĂ©s, dans le confort de leur chez eux, dans un cafĂ© ou encore dans un chalet dans le fond du bois, mais ils sont lĂ  et ils travaillent fort pour rĂ©ussir.

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Mais pour les plus indĂ©pendants d’entre-nous, c’est aussi l’universitĂ© par excellence pour apprendre de maniĂšre autodidacte sans avoir Ă  se taper les questions parfois «impertinentes» des autres Ă©tudiants. On peut mĂȘme changer la date de ses examens au besoin (une fois sans frais, puis 53 $ pour une deuxiĂšme et derniĂšre fois), prolonger son cours d’une session au besoin (frais 80$) et on peut mĂȘme dĂ©buter ses cours quand bon nous semble, mĂȘme en plein milieu d’une session universitaire rĂ©guliĂšre. C’est aussi possible d’ajouter des cours Ă  tous moments pendant l’annĂ©e.

Ce qui est intĂ©ressant avec l’autonomie du rythme des Ă©tudes, c’est qu’on peut dĂ©cider de terminer rapidement un cours pendant qu’on a le temps ou prolonger notre cours si on en a par-dessus la tĂȘte au travail ou Ă  la maison.

Pas de classes physiques, mais


Pour la plupart des cours, il y a deux façons d’ĂȘtre encadrĂ©s : par le professeur ou encore par un tuteur qui agit Ă  titre de personne-ressource. La politique, c’est que ce dernier devrait nous rĂ©pondre dans un dĂ©lai maximal de 2 jours ouvrables pour les courriels et les appels, corriger notre travail en 7 jours et notre examen en 5 semaines. Évidemment, c’est pas toujours respectĂ©, mais on finit par connaĂźtre les plus fiables. Les profs, eux, c’est encore plus freestyle. Ils ne sont pas tenus Ă  des dĂ©lais selon leur convention collective.

Autre petit point nĂ©gatif, il n’y a pas de semaine de lecture. Adieu les beuveries et les voyages dans le sud en milieu de session!

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Autre petit point nĂ©gatif, il n’y a pas de semaine de lecture. Adieu les beuveries et les voyages dans le sud en milieu de session! On a 15 semaines pour faire tous les travaux et examens liĂ©s au cours. Il n’y a pas de projet d’équipe, non plus de par la nature de l’universitĂ©. De façon gĂ©nĂ©rale, ils se font dans le confort de son salon ou au cafĂ© au coin de votre rue, mais vous devrez vous prĂ©senter physiquement Ă  une session d’examens aprĂšs votre session. Elles se tiennent partout au QuĂ©bec et mĂȘme Ă  l’étranger si vous ĂȘtes Ă  l’extĂ©rieur pour un moment. Les Ă©valuations se font Ă  maximum 50 km de votre maison.

Et parfois, le dĂ©lai entre la fin de vos cours et votre examen final peut ĂȘtre assez long. Il faut donc redoubler d’ardeur pour assimiler la matiĂšre. Pour mes cours pris Ă  l’étĂ© 2019 qui se terminaient Ă  la mi-aoĂ»t, deux de mes examens ont Ă©tĂ© fixĂ©s en septembre et j’en ai eu deux autres au mois d’octobre. J’ai donc dĂ©butĂ© ma nouvelle session Ă  l’automne en n’ayant pas effectuĂ© mes examens de la session d’étĂ©.

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Une offre de cours diversifiée

En termes de cours Ă  distance, la TÉLUQ se dĂ©marque aussi des autres universitĂ©s. On peut avoir accĂšs Ă  des classes virtuelles chaque semaine qui suivent un horaire dĂ©terminĂ©. Il y a aussi des cours prĂ©enregistrĂ©s et des prĂ©sentations PowerPoint oĂč l’on entend la douce voix du prof en surimpression vocale dont le contenu est dĂ©verrouillĂ© une semaine Ă  la fois.

Les apprentissages se font principalement Ă  partir de divers contenus offerts sur le site de cours (lectures de PDF, revues/articles en ligne, vidĂ©os, etc.) ou encore par du matĂ©riel de cours expĂ©diĂ© par la poste (environ 1 semaine aprĂšs l’inscription au cours), que ce soit des notes de cours, des manuels ou des cahiers d’exercices. Il n’y a donc pas d’interaction virtuelle avec le professeur, c’est Ă  peine s’il y a un vidĂ©o d’introduction au cours oĂč on voit son visage pour la premiĂšre et derniĂšre fois.

Étudier Ă  la TÉLUQ c’est aussi comme partout ailleurs : on est admissibles aux prĂȘts et bourses de l’AFE, Ă  certaines bourses offertes par des partenaires de l’universitĂ©, on a une association Ă©tudiante auprĂšs de laquelle on peut s’impliquer, on peut s’impliquer auprĂšs de notre futur ordre professionnel auprĂšs des Ă©tudiants, le tout Ă  distance.

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Bon, c’est sĂ»r que cĂŽtĂ© social, c’est pas lĂ  qu’on tisse les liens les plus forts. Depuis que je suis Ă  la TÉLUQ, il n’y a eu aucune activitĂ© d’organisĂ©e pour que les Ă©tudiants se regroupent et aucun effort n’est dĂ©ployĂ© en ce sens. Toutefois, il est frĂ©quent de voir sur le groupe Facebook des Ă©tudiants qui dĂ©cident de se regrouper prĂšs d’un lieu commun pour Ă©tudier un mĂȘme cours.

Si la vie Ă©tudiante se vit plus dans notre salon, la TÉLUQ n’en demeure pas moins une vraie universitĂ© avec de vrais diplĂŽmes et certificats. Ses Ă©tudiants n’ont peut-ĂȘtre pas de profil type, mais ils sont lĂ  et cheminent silencieusement jusqu’à leur rĂ©ussite.

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