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Étudier et agir concrètement sur des enjeux de société: c’est possible à l’UQAR
URBANIA et l’UQAR s’allient pour vous faire découvrir les enjeux sociaux sur lesquels vous pourriez agir et avoir un véritable impact en choisissant l’un des différents programmes offerts par cette université.
Avec du recul, l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) aurait assurément pu me permettre de me sentir un peu plus utile à notre société. Je ne suis pas une nuisance, là, qu’on s’entende bien, mais disons simplement que je doute parfois de ma plus-value!
Voici justement quatre enjeux sociaux sur lesquels vous pourrez agir concrètement en étudiant à l’UQAR.
Parenthèse sur l’UQAR
Juste avant de vous présenter les domaines dans lesquels l’université se distingue particulièrement, j’aimerais simplement faire les présentations officielles : « UQAR : lectorat d’URBANIA; lectorat d’URBANIA : UQAR. »
L’UQAR fait partie du réseau de l’Université du Québec, et 7 000 personnes y étudient, sur deux campus : Rimouski et Lévis. Les étudiant.e.s arpentent les couloirs des campus, mais aussi des différents sites de formation en Chaudière-Appalaches, dans le Bas-Saint-Laurent, en Gaspésie, aux Îles-de-la-Madeleine et sur la Côte-Nord. L’UQAR est présente et accessible dans ce grand territoire afin de permettre à plus d’universitaires de changer le monde chaque année.
Si jamais vous avez le FOBA (Fear of Big Amphithéâtres), eh bien sachez qu’on fonctionne ici avec une moyenne de 30 étudiant.e.s par cours : des lieux d’apprentissage et une expérience étudiante à dimension humaine!
L’environnement et les changements climatiques
On peut dire que c’est dans le créneau environnemental que l’université se démarque le plus, et je ne mâche pas mes mots en disant qu’à l’heure actuelle, c’est également l’enjeu du siècle. La réputation de l’UQAR en la matière n’est plus à faire. Année après année, l’UQAR se classe dans le top 3 des universités en recherche. L’Institut des sciences de la mer de Rimouski contribue grandement à ce classement, notamment grâce à des recherches sur le rôle des océans dans les changements climatiques.
L’UQAR regroupe aujourd’hui une extraordinaire concentration de chercheuses et de chercheurs qui consacrent leurs travaux aux écosystèmes marins et à la biodiversité, dans une perspective de développement durable.
L’UQAR offre notamment à son campus de Rimouski un programme unique au Québec, le baccalauréat en chimie de l’environnement et des bioressources. Si les cours magistraux ne vous emballent pas particulièrement, sachez que 70 % des cours comprennent du travail en laboratoire ou des sorties sur le terrain. Dans cette formation, on préconise une approche scientifique tout en trouvant des solutions pouvant améliorer la qualité de vie des générations actuelles et futures.
Un autre programme très populaire à l’UQAR, le renommé baccalauréat en biologie, axé sur la biologie environnementale, offre également près de 8 cours sur 10 comprenant des laboratoires et des sorties sur le terrain. C’est l’occasion de se spécialiser en faune, en évolution des organismes ou en sciences marines – en somme, un autre domaine qui vous permettra d’être notre sauveur ou sauveuse de demain.
Les passionné.e.s de la recherche peuvent aussi poursuivre leurs études aux cycles supérieurs en océanographie ou en gestion des ressources maritimes, par exemple. (Excuse-moi, mais juste l’idée d’être « docteur.e en océanographie » me donne envie de tout lâcher et de retourner sur les bancs d’école.)
La santé et l’éducation
Une des principales questions que se fait poser un.e cégepien.ne après avoir choisi son champ d’études supérieures est sûrement celle-ci : « OK, mais est-ce que tu vas avoir un emploi après? » Je parle par expérience! Or dites-vous bien que si vous choisissez un programme en éducation, en santé, en psychologie ou en travail social, non seulement vous vous éviterez la question, mais on vous couvrira de louanges. C’est aussi une occasion d’œuvrer dans des domaines qui contribuent au filet social québécois.
Si, en plus, vous vous êtes senti.e interpellé.e lorsqu’on a appris qu’il y avait 8 000 postes en éducation à combler à la fin août, vous avez vraiment le choix. De l’éducation préscolaire à l’enseignement secondaire en passant par l’enseignement primaire jusqu’à l’enseignement professionnel, une panoplie d’options vous sont offertes à l’UQAR.
Il est important de se rappeler que, même dans ces champs d’études, on vise des classes comprenant une trentaine d’étudiant.e.s. Apprendre la profession d’enseignant.e ou d’infirmier.ère avec une perspective humaine et de proximité va de soi, à mon avis, pour se préparer à des emplois où le contact est si direct. Et il faut aussi comprendre que faire partie de plus petits groupes vous permettra d’avoir un meilleur accès aux laboratoires et à l’équipement spécialisé, ce qui favorisa votre réussite!
La valorisation et le développement des régions
De nombreuses régions peuvent être très attrayantes pour de jeunes professionnel.le.s. On tente depuis quelques années d’y attirer de la main-d’œuvre. Les enjeux y sont multiples : certes, elles offrent une proximité avec la nature, mais la population y est moins concentrée que dans les grands centres, ce qui pose des défis importants en matière de développement de services aux populations.
Si de tels défis vous interpellent, le baccalauréat en développement des sociétés et territoires est une voie idéale pour vous. Vous souhaitez étudier des notions actuelles, ancrées dans le contexte québécois? Cette voie est pour vous. Par exemple, l’acceptabilité sociale des projets d’exploitation des ressources naturelles et l’adaptation des communautés locales aux changements climatiques font partie des thèmes (très d’actualité) qui y sont abordés.
Les problématiques de transport
Le Réseau express métropolitain, le troisième lien Québec-Lévis, le tramway de Québec, le prolongement de la ligne bleue du métro : les projets de transport en commun se sont multipliés dans la province au cours des dernières années. Par ailleurs, il faut plus que jamais aménager notre territoire en fonction des changements climatiques!
Vous voulez faire partie intégrante de cette transformation historique? Je vous présente le baccalauréat en génie civil. Bien sûr, c’est une formation complète en génie, mais elle comprend des cours-projets qui vous permettront de travailler sur de réels projets soumis par des entreprises partenaires : un avant-goût concret du métier tout en terminant ses études!
Un secteur aussi névralgique comporte bien sûr son lot de défis, comme la protection du littoral ou l’adaptation des communautés côtières aux changements climatiques. Les importantes crues printanières des dernières années nous rappellent également l’importance d’un aménagement efficace des infrastructures municipales en cas d’inondations. Le baccalauréat en génie civil, avec cette fois-ci une concentration en génie côtier, vous permettra de vous attaquer directement à ces enjeux. En tant qu’étudiant.e, vous serez amené.e à conceptualiser et à construire des infrastructures littorales, une formation unique au Canada, offerte ici, à l’UQAR!
Futur.e ingénieur.e, il existe aussi d’autres façons d’obtenir votre précieux anneau en acier à l’auriculaire! (Oui, les diplômés en génie reçoivent un anneau lors d’une cérémonie. Un rite vieux d’un siècle!). En plus des programmes déjà mentionnés, des cheminements en génie des systèmes électromécaniques, en génie électrique et en génie mécanique sont également offerts.
Lévis, un choix qui s’impose
L’UQAR est aussi bien implantée au cœur du principal pôle urbain de Chaudière-Appalaches, Lévis, depuis maintenant plus de 40 ans. Un campus à taille humaine y accueille environ 2 600 étudiant.e.s, dans une des plus grandes villes du Québec. En 2023, Lévis s’est par ailleurs retrouvée dans le top 10 des meilleurs endroits où vivre dans la province, et dans le top 10 des villes les plus sécuritaires au Canada. Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, c’est la définition même d’un endroit où j’aurais aimé étudier! (Je vais arrêter ici, Lévis va commencer à avoir la tête enflée.)
Sur place, des formations en éducation, en santé, en gestion et en informatique figurent notamment parmi vos options, elles aussi axées sur la pratique et la possibilité de poursuivre son cheminement aux cycles supérieurs. Au total, plus de 80 programmes d’études de tous les cycles y sont offerts! Et c’est sans compter les infrastructures modernes conçues pour profiter au maximum de l’ensoleillement et des énergies renouvelables, comme la géothermie et les panneaux solaires. Le nouveau centre sportif améliorera également à coup sûr votre expérience sur le campus!
Si vous n’êtes toujours pas convaincu.e…
Vous n’êtes toujours pas totalement décidé.e? Sachez que Boucar Diouf, ce grand sage, a foulé les planchers de l’UQAR. Après y avoir fait ses études en océanographie, il y a notamment été chargé de cours en biologie pendant quelques années. Encore aujourd’hui, il considère son alma mater comme sa « maison ». L’UQAR serait-elle votre prochain « chez-vous » à vous aussi?
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Ça y est? Vos boîtes sont faites et votre camion de déménagement est réservé? Des séances d’information en ligne sur les différents programmes et sur la vie étudiante sont prévues lors de la Semaine des futur.e.s étudiant.e.s, du 6 au 10 novembre 2023, et l’admission est gratuite du 7 au 9 novembre.
Des journées portes ouvertes auront également lieu du 27 janvier 2024. Des autobus nolisés et des chambres d’hôtel seront même offerts par l’UQAR. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de l’UQAR, une université qui s’engage pour le monde!