.jpg)
Et si vous n’aviez pas pensé à ces métiers en santé?
URBANIA et l’Université Laval s’unissent pour vous rappeler que votre métier idéal existe, et qu’il se trouve peut-être dans cet article.
Des possibilités de carrière, en voulez-vous, en voilà! Mais faire le bon choix semble parfois l’aboutissement d’une expédition en terrain miné, parsemé de journées portes ouvertes, d’attentes parentales, de discussions animées entre ami.e.s et de suggestions douteuses de proches (!)…
Et si malgré tout cela vous passiez à côté d’une profession méconnue qui s’avérerait être votre vocation? Et si vous ne saviez pas que le métier de vos rêves existe?
Pas de panique : cet article vous fait découvrir des programmes universitaires et des débouchés en santé qui sortent des sentiers battus.
Enfin, de la sexo à Québec
Enfin, l’Université Laval présente son nouveau (et très attendu) baccalauréat en sexologie! Il s’agit du deuxième bac dans ce domaine au Québec – et dans le monde! Et tant mieux, car on manque indéniablement de sexologues, particulièrement hors des grands centres.
La popularité de ce domaine a explosé ces dernières années. Selon Roxanne Guyon, professeure au bac en sexo à l’Université Laval, cet engouement s’explique par le rayonnement des sexologues et par l’intérêt grandissant de la société pour la compréhension de la sexualité humaine. De l’intimité à l’identité de genre, on en parle plus qu’avant, avec moins de gêne et moins de tabous, même si certains de ces derniers ont la couenne dure.
Et les débouchés sont nombreux. « Les sexologues ont le choix entre la pratique privée, les CIUSSS et les hôpitaux, mais peuvent aussi travailler dans les CHSLD, le communautaire ou pour la DPJ, notamment », résume Roxanne. Les options ne manquent pas!
Et si vous faisiez partie de la deuxième cohorte de diplômé.e.s du baccalauréat en sexologie de l’Université Laval?
Nouveau pavillon de médecine avec vue sur le fleuve
Inutile de dire qu’étudier la médecine en ayant les paysages époustouflants du Bas-Saint-Laurent comme toile de fond est tout sauf plate. Voilà ce que vous offre le tout nouveau pavillon d’enseignement de la médecine de l’Université Laval à Rimouski, qui vise à répondre au besoin urgent de former de futur.e.s médecins à l’extérieur des grands centres.
Le docteur Charles-Étienne Plourde estime que les médecins qui s’installent en région s’exposent à une pratique de la médecine plus globale, où il faut en mener plus large, car les ressources sont plus limitées. Relever le défi est gratifiant et permet d’utiliser son jugement clinique dans des cas très variés.
Et le nouveau pavillon? Outre ses installations à la fine pointe, il est situé dans le vibrant centre-ville de Rimouski et au bord des rives du Saint-Laurent. Dîner devant la danse des baleines : voilà qui permet de joindre l’utile à l’agréable!
Sans compter que les débouchés sont nombreux : médecins de famille, chirurgien.ne.s et cardiologues, mais aussi oto-rhino-laryngologistes (saurez-vous l’épeler?), néphrologues, endocrinologues et bien d’autres encore.
Pour étudier l’anatomie en respirant l’air salin, lisez-en plus sur le doctorat en médecine à l’Université Laval.
Besoin d’ergos pour… tout
Savez-vous ce qu’est un.e ergothérapeute? Non? Normal! Aurélie, qui a étudié et travaillé en ergo, explique que le métier est si vaste et offre tant de possibilités qu’on ne peut pas le résumer en quelques lignes. Mais pour les besoins de la cause, essayons.
En ergo, peu importe la clientèle et l’environnement de travail, l’objectif est de contribuer à l’autonomie et au bien-être des personnes dans leurs activités de tous les jours. Autrement dit, de simplifier leur quotidien.
Concrètement, le travail d’un.e ergo peut prendre de nombreuses formes. Comme accompagner un.e employé.e blessé.e en vue d’un retour au travail en recherchant le soutien de son équipe et en s’assurant que son espace convient à ses besoins. Ou adapter la maison d’une personne âgée ou d’une personne ayant un trouble de santé mentale. Ou aider un.e enfant qui a du mal à utiliser un crayon ou à accomplir certaines tâches à l’école. Et ce ne sont là que quelques exemples : la liste est longue.
Ce qu’Aurélie aime le plus de son métier? L’effet concret qu’elle peut avoir dans la vie des gens. Il est hyper satisfaisant de voir quelqu’un qui ne pensait jamais retravailler reprendre enfin son boulot. Ou encore d’accompagner une personne en situation de handicap jusqu’à ce qu’elle puisse conduire sa nouvelle voiture adaptée.
Bref, les gens qui aiment le terrain et les humains sont servis avec le bac en ergothérapie à l’Université Laval. Informez-vous!
***
Cet article vous a fait vibrer d’enthousiasme pour les programmes en santé de l’Université Laval? Découvrez-en plusieurs autres sur son site.