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Bien se préparer au déconfinement pour mieux affronter vos semaines

Quand le quotidien revient.

Par
Arianne Maynard-Turcotte
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Quatre95 et Cook it s’unissent afin de vous aider à y voir plus clair dans votre nouvelle routine quotidienne.

Après le stress du confinement, on vit maintenant une toute nouvelle époque, tout aussi stressante : celle du déconfinement. C’est un stress différent que ce que l’on vit en ce moment. Et même si on est tanné en ciboulot de cacahuète (remplacez «ciboulot» et «cacahuète» par les mots d’église de votre choix) du confinement et que plusieurs sont encore angoissés par cette situation (c’est tout à fait légitime), force est d’admettre qu’on a tout de même développé de bonnes habitudes de vie pendant cette dure période.

Pour certains, l’achat local est devenu un réflexe. D’autres prennent davantage le temps de cuisiner et trouvent des moyens d’éviter le gaspillage alimentaire. En fait, notre «routine» à la maison est, pour plusieurs, pas mal plus saine que celle qu’on avait lorsqu’on travaillait. Alors, pourquoi ne pas essayer de conserver ces nouvelles habitudes, même après le retour à la normale?

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Voici donc quelques trucs pour bien vous préparer au déconfinement et surtout, pour faire face au stress qui ne manquera pas de revenir au galop sur le dos de son fidèle destrier nommé «40 heures semaines» (je sais, c’est un drôle de nom pour un cheval).

Cuisiner plus

Les pénuries de farine et de levure parlent d’elles-mêmes: le Québécois moyen a appris à préparer sa dose de produits céréaliers en confinement! Pourquoi? Parce qu’on avait le temps. Le temps d’apprendre une nouvelle recette, de regarder notre miche lever pendant des heures, de s’émerveiller devant une belle croûte et de prendre 272 photos d’un tas de farine cuit. Quand le travail va reprendre, le temps sera moins facile à trouver, mais il faudra le prendre: cuisiner est un excellent moyen de mettre son cerveau à off.

Passer du temps en famille

Même si tous les parents trouvent difficile de faire une vidéoconférence pendant que leur plus jeune se crayonne la face, la plupart réalisent la chance qu’ils ont de passer plus de temps avec leurs p’tits mousses. Pour conserver ce précieux temps en famille dans le futur, évitez de prendre trop d’heures supplémentaires, ou essayez de conserver une journée de télétravail par semaine, peut-être? On s’entend que la plupart des employeurs devront se rendre à l’évidence: le télétravail a pas mal fait ses preuves.

Appelez nos grands-parents

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Ça n’a pas tant rapport avec la charge mentale, mais c’est définitivement une bonne habitude à conserver. Étonnamment, plusieurs personnes âgées ont beaucoup plus d’appels en ce moment qu’en temps normal. C’est bien, c’est très bien même! Par contre, quand la menace de la COVID-19 diminuera, espérons que nos appels, eux, continuent.

Mieux choisir ses dépenses de bouffe

En ce moment, les revenus ont diminué pour beaucoup d’entre nous, mais n’oubliez pas que les dépenses aussi diminuent! Pendant le déconfinement, continuez à faire votre café à la maison avant d’aller au travail : fini les cafés Starbucks à 5$! Ou pourquoi ne pas encourager un café local au même prix à la place? Faites-vous des lunchs au lieu d’aller dîner à la cafétéria tous les jours: vous êtes rendu tellement bon en cuisine que votre pain de viande maison est ben meilleur anyway. En plus, comme ça vous pouvez choisir de la viande d’une ferme locale et des oignons d’un panier d’un agriculteur québécois : que des points positifs!

Prendre du temps pour soi

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Oui, il va falloir essayer de continuer à prendre du temps pour cuisiner, appeler ses grands-parents et passer du temps avec ses enfants, mais ne vous oubliez pas dans tout ça. Permettez-vous de vous asseoir pour lire, ou même de prendre un bain en plein milieu de la journée… Mais pas si c’est une journée de bureau, là vous risquez de vous faire renvoyer et d’avoir beaucoup trop de temps après.

Acheter local

On assiste en ce moment à une prise de conscience de la majorité des Québécois: c’est important d’acheter local. En plus de stimuler l’économie québécoise et d’aider les petits commerçants et producteurs, l’achat local a un réel impact positif sur l’environnement. Même une fois la crise terminée, continuons de faire le plus d’achats possible (selon nos moyens) dans les commerces locaux. Pourquoi ne pas se faire un Noël 100% québécois, par exemple? Passez le mot au père Noël!

Prendre des marches

Puisqu’on est tannés de rester chez nous, plusieurs ont ajouté les marches quotidiennes à leur routine de confinement. Que ce soit sur l’heure du midi pour se vider la tête ou après un repas pour digérer, marcher est un excellent moyen de décompresser. Imaginez, un jour, dans le futur, on n’aura même plus besoin de contourner tous les gens qu’on croise sur le trottoir!

Vider son frigo

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Au lieu de faire de petites épiceries chaque jour, plusieurs ont pris la bonne habitude de planifier leurs repas et de faire une grosse épicerie en conséquence. Ainsi, on réfléchit nos achats de nourriture intelligemment en achetant le nécessaire. Et pourquoi ne pas réutiliser nos retailles de légumes pour en faire un bouillon? Certains ont même profité du confinement pour vider leurs fonds d’armoires : le paquet de lentilles séchées acheté en 2015, combiné avec une vieille canne de pâte de tomate et un peu de cari devient soudainement un délicieux curry indien! La découverte de nouvelles habiletés culinaires participe à réduire le gaspillage alimentaire dans plusieurs maisons, c’est pas merveilleux ça?

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Pour vous permettre de mieux affronter vos semaines à venir, Cook it s’occupe de tout. Du choix des recettes jusqu’à la livraison, les boîtes prêtes à cuisiner vous offriront des solutions repas rapides et sans compromis qui vous permettront de faire le pont entre votre nouvelle réalité professionnelle et votre vie personnelle tout en conservant vos bonnes habitudes de consommation.

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