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5 résolutions plein air qu’on aimerait mieux respecter cette année
Des membres de l’équipe d’URBANIA dévoilent leurs souhaits pour 2022.
Tel un rigodon éternel, les résolutions du jour de l’an représentent un rite de passage quasi obligé pour beaucoup d’entre nous. Malheureusement, il arrive bien souvent qu’on laisse tomber nos plans quelques semaines seulement après le début de la nouvelle année.
Afin de nous garder motivé.e.s (et de tenir notre parole), Dehors a dressé une petite liste de résolutions plein air pour les prochains mois avec l’aide des collègues d’URBANIA.
Apprendre un sport et le pratiquer
Tant qu’à être confiné.e.s pour la 54e fois, pourquoi ne pas profiter du temps qu’on a pour s’initier à un nouveau sport qui nous sort de notre zone de confort? Que ce soit le ski de fond, le ski de randonnée, le skate ou le trekking, le great outdoors est une source inépuisable de plaisir sportif et une façon moins risquée de continuer à voir des gens en temps de COVID.
Même si le mercure est bien en dessous de 0, Alexandre Lamarche, chargé de projets numériques chez Folklore, pense déjà à l’été prochain avec l’objectif d’apprendre le kitesurf. « C’est dans les plans depuis un bout pour ma copine et moi. Il y a quelques endroits pas trop loin de Montréal pour en faire et ça semble être un sport exigeant et amusant. » On vous souhaite bonne chance, Alex!
(Re)commencer à courir
On voit déjà vos yeux rouler à lire cet intertitre. Mais étant le sport le plus « accessible » au monde, on se devait d’ajouter la course à la liste, désolé.
Avec l’hiver qui s’est bien installé, ça peut être difficile de se motiver à enfiler ses souliers et battre le bitume enneigé. Mais une fois qu’on est bien habillé.e et bien chaussé.e, l’air froid n’est plus aussi épeurant. « À la base, je suis une grande nageuse et la course à pied est un excellent complément à ma pratique aquatique. Cependant, la course me sort de ma zone de confort, puisque mon corps n’est pas habitué à forcer avec ce style d’exercice. À un moment donné, le mental débarque et je me dis : pourquoi ne pas simplement faire une séance de natation supplémentaire? », avoue Marie-Luce, directrice des ventes, contenu de marques au département de créativité média, qui aimerait bien recommencer pour de bon la course cette année.
Un truc pour partir du bon pied (et ne pas se décourager) : recommencer lentement (vous pouvez même alterner entre la marche et la course si vous n’êtes pas habitué.e à ce type d’effort) et écouter son corps pour éviter les blessures. C’est aussi important d’avoir du plaisir tout au long du processus et de ne pas se mettre de la pression pour performer.
Let’s go, vous êtes capable!
Aller marcher avec un.e ami.e ou un.e proche par semaine
On se le fait répéter constamment depuis le début de la pandémie par notre cher gouvernement. Pour contrer les effets du confinement et l’angoisse que peut amener l’état d’urgence qui perdure depuis près de deux ans, aller marcher est une bonne façon de chasser le blues ambiant tout en étant COVID proof.
« Je trouve que la pandémie est difficile sur les amitiés puisqu’on ne peut plus vraiment se voir dans des contextes sociaux et qu’on n’est plus capable des apéros par visioconférence, explique Laïma, journaliste à URBANIA. Cette année, j’aimerais beaucoup essayer de voir ma famille et mes ami.e.s à l’occasion de marches hebdomadaires pour changer d’air et continuer à les voir en personne. En plus, ça permet de découvrir des quartiers que l’on connaît moins! »
Si vous n’êtes pas encore convaincu.e de sortir de votre divan pour braver les intempéries de la météo, il est prouvé que la marche en nature a des effets bénéfiques sur l’anxiété et la santé mentale. Alors, qu’attendez-vous pour enfiler votre manteau et rattraper le temps perdu avec vos proches?
Démarrer un jardin
Celle-là, on la garde dans notre petite poche arrière de pantalons crottés jusqu’au printemps. Que l’on considère transformer son balcon en mini potager ou carrément aménager sa cour arrière en jardin d’Eden, avoir le pouce vert est une belle façon de passer du temps à l’extérieur, de déconnecter un moment de nos écrans et d’être (dans le meilleur des mondes) plus autonome alimentairement parlant.
« J’ai acheté une propriété avec ma copine l’an dernier et nous avons un grand terrain. Il y avait déjà un potager sur place donc on a essayé de l’entretenir du mieux qu’on pouvait, mais vers la fin de la saison, nos légumes n’étaient pas aussi alléchants qu’on l’aurait voulu. Les chevreuils et les insectes ont finalement achevé nos tomates et notre kale. Cette année, j’aimerais être mieux préparé et exploiter le plein potentiel du potager », explique François, responsable du contenu éditorial pour Dehors.
Vous pouvez même planter vos semis avant que la neige commence à fondre afin de prendre de l’avance pour votre potager. Une fois, les beaux jours arrivés, sortez votre pelle et votre chapeau de paille et allez jouer dans la terre!
Mettre le nez dehors davantage, tout simplement
Dans notre quotidien effréné, il peut être difficile de prendre le temps de sortir de nos quatre murs. Mais passer du temps à l’extérieur permet d’être mieux à l’intérieur de soi sur tous les plans (onnnhh!).
Comme notre mission est de donner envie de jouer dehors sans se la jouer, on aimerait vous souhaiter une bonne année à découvrir notre majestueux territoire naturel à votre rythme et de la manière qui vous convient le mieux.
Bonne exploration!