LogoSponsor

5 dépenses à faire sans culpabilité en 2026

Les temps sont durs, mais là-dessus, on peut dépenser sans compter!

Publicité

On se mentira pas : l’année 2025 a été difficile sur le plan financier pour plusieurs d’entre nous, et les économistes semblent peu optimistes quant à la prochaine année (sauf peut-être pour Mark Zuckerberg et Jensen Huang).

Le mot d’ordre, encore une fois, risque d’être frugalité.

Ça veut-tu dire qu’il faudra vivre comme Donalda Poudrier en 2026? Heureusement, non. On vous suggère quelques dépenses qui vaudront le coup (et surtout, le coût) dans la prochaine année.

#1. Des cours de cuisine

Selon les économistes de la Banque du Canada, en 2026, ce qui risque de limiter la marge de manœuvre des Canadiens, c’est le coût de la nourriture qui continue d’augmenter.

Je suis le premier à reconnaître que je mange trop souvent à l’extérieur. Et même quand je mange à la maison, un peu trop souvent, je mange des plats préparés qui coûtent plus cher (et qui sont parfois moins bons pour la santé) que si je les avais cuisinés moi-même.

Publicité

C’est pourquoi, en 2026, si vous n’avez pas l’âme (ou le talent) d’un cuisinier, c’est le temps d’y remédier en découvrant le plaisir de cuisiner pour soi et pour les autres, et surtout, de payer moins cher pour MIEUX manger.

Pis si vous vous découvrez un talent digne d’une étoile Michelin, n’hésitez pas à m’inviter à souper.

#2. Un abonnement à Partage Club

J’aurais dû le dire d’emblée : ce texte n’est pas commandité. Je ne suis pas payé par Partage Club et je ne suis pas non plus actionnaire.

Il s’agit tout simplement d’un service que j’ai découvert cet automne et qui m’a complètement charmé, parce qu’il répond à la fois à mes aspirations économes et écolo.

En gros, Partage Club, c’est une app qui nous permet de prêter et d’emprunter des objets à nos voisins. On a tellement de choses qui ne nous servent que très rarement, pourquoi ne pas les partager au lieu d’acheter un cossin qui va prendre la poussière 99 % du temps ?

J’ai tenté l’expérience plus tôt cette année : j’ai emprunté une machine à laver les tissus qui m’a permis de nettoyer mon sofa sans débourser un sou (pour vous donner une idée, une location coûte habituellement autour de 50 $).

Publicité

La semaine suivante, ça a été à mon tour de prêter à une photographe mon défroisseur à linge, qui ne me sert habituellement que les 2-3 fois par année où je m’habille chic. Elle me l’a emprunté pour une semaine de shooting photo où il a beaucoup servi, et elle me l’a ramené en parfait état.

Sur Partage Club, l’échange d’argent est interdit. L’idée, c’est de prêter sans transaction économique.

Le seul truc payant, c’est l’abonnement qui permet d’emprunter de manière illimitée. Heureusement, c’est abordable : 60 $ par an ou 8 $ par mois.

Considérant que j’ai économisé tout près de ce montant en un seul emprunt, aucun doute que ça vaut la peine pour moi!

#3. Un air fryer

Je sais, je sais, c’est tellement 2022.

Et c’est exactement pour ça que j’en parle maintenant.

Parce que dès que les air fryers sont devenus populaires, les prophètes de malheur se sont bousculés pour crier : « C’est rien qu’un autre gadget inutile que tu vas utiliser deux fois et qui va prendre la poussière après! »

Rien ne pourrait être plus faux.

Publicité

Des années après l’acquisition de mon air fryer, il me sert encore pratiquement tous les jours. On ne peut pas en dire autant de mon four traditionnel qui, lui, sert beaucoup moins.

Évidemment, c’est pratique pour faire des frites et des croquettes, mais je vous rassure, je ne me nourris pas exclusivement comme un toddler de 34 ans.

Je m’en sers également pour rôtir des légumes, faire cuire saumon, poulet et porc, et même pour faire cuire des desserts! En plus, c’est parfait pour réchauffer les restants. Presque aussi rapide que le micro-ondes, mais tout est chaud de façon égale, sans la texture caoutchouteuse.

#4. Une assurance pour vos animaux de compagnie

Plusieurs fois par année, je vois des amis être obligés de faire un GoFundMe pour leur chat ou leur chien qui a besoin d’une opération coûteuse, et chaque fois, ça me brise le cœur. J’ai un petit chat que j’adore, et je serais inconsolable si je devais la perdre avant que son heure ne soit venue.

Mais le vétérinaire, c’est cher. Très cher.

Publicité

C’est pourquoi l’assurance maladie pour les animaux de compagnie peut être une dépense intéressante, encore plus si votre animal est jeune et en santé.

Évidemment, ça revient moins coûteux si vous pouvez mettre la somme que vous débourseriez en assurance de côté dans un compte auquel vous ne touchez pas. Vous pourriez même placer cet argent et le faire fructifier pendant que Minou ou Pitou est en santé.

Dans tous les cas, vous serez heureux de ne pas avoir à faire un GoFundMe le jour où votre plus fidèle compagnon tombera malade.

#5. Un écran protecteur de téléphone

Je sais que ça semble banal comme achat, mais je suis toujours fasciné de voir le nombre de gens qui se baladent avec un téléphone dont l’écran ressemble à un vitrail d’Église. Et chaque fois, je leur pose la même question : « T’as pas de protecteur d’écran?!? », et chaque fois, on me répond par le même haussement d’épaules gêné.

Je vous avoue que ça me dépasse. Pour la plupart d’entre nous, notre téléphone intelligent est à la fois notre bien le plus coûteux, et celui qu’on traîne le plus sur nous. Au moment d’écrire ces lignes, le iPhone 17 commence à 1 129 $. Un protecteur d’écran, c’est une dizaine de dollars.

Publicité

C’est pas cher payé pour protéger un bien qui coûte un mois de loyer, non?

Commentaires
Aucun commentaire pour le moment.
Soyez le premier à commenter!

À consulter aussi