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Top 5 des pétages de coche de stars

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On vous a déjà fait un compte-rendu des gens qui pètent les plombs au cinéma, dans les sports et en politique. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin? Voici les meilleurs exemples de ces stars, ces vedettes, ces « pipole » qui nous ont fourni les meilleurs disjonctages de l’histoire.

Ceux qui me suivent sur d’autres plates-formes me connaissent le béguin-sûrette pour la star et ses accessoires. Qu’elle soit curly, Suzy ou saucissonnée dans une strapless à franges, la star me fascine.

C’est pourquoi quand on m’a demandé de réunir les cinq pétages de coche les plus savoureux (dans ma pupille à moi, dans la dernière année), je me suis flippé les pointes vers l’extérieur, j’ai mis mon bébédoll et j’ai écrit ceci, le long jeu de « It’s my party and I cry if I want to » dans le tapis.

Et je vous arrête tout de suite, CHOISIR N’A PAS ÉTÉ FACILE.

C’est parti.

  1. CHRISTINA AGUILERA S’EST FÂCHÉE NOIR CONTRE MICKEY MOUSE
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Christina Aguilera a beau faire partie des stars de qualité qui se sacrent ben d’avoir des coulisses de spray tan qui lui coulent le long des jarrets pendant qu’elle monte et redescend huit fois la même note pour glousser le mot bouteille en se faisant aller la petite main crispée,

… elle ne badine pas avec Mickey Mouse. Hell no.

Lors de sa dernière visite à Disney World, la petite Aguilera s’est mise à sautiller dans ses running shoes à talons hauts quand Mickey Mouse, LE VRAI, a croisé son souverain chemin. Le jour de son anniversaire, toé.

L’affaire, c’est que la pauvre mascotte s’en allait su’ sa pause, après avoir passé quatre heures non-stop à faire des samarcettes pour des petits verrats avec les mains pleines de confiture pis de morceaux de lingettes.

Mais ne file pas en break mordre à pleines palettes dans sa barre « goûter campagnard » souriceau qui veut; devant l’absolue indifférence de Mickey en route vers sa kitchenette, les fils de Christina se seraient touchés et elle serait entrée dans une colère telle QUE DES GARDES DE SÉCURITÉ ONT DÛ EMMENER LA MASCOTTE (UNE MASCOTTE) EN LIEUX SÛRS pendant que la Aguilera s’arrachait les rallonges en hurlant « Don’t you know who I am??? ». Elle criait ça. À Mickey Mouse.

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« Don’t you know who I am??? ». Je l’ai essayée, celle-là. Et la petite dame du Costco a jamais voulu me donner un autre échantillon de saucisse italienne.

4. GENEVIÈVE SABOURIN ET SON MATELAS DE MARDE

C’est, du lot, le récit le plus vétuste, ce qui ne l’empêche pas d’être aussi crunché qu’au premier jour (COMME LES NOCES DE CÉLINE).

On se souvient tous de la Sabourin, chevelure rabattue vers l’arrière, l’épaule toujours prête à être sacrée chevalière par la Reine, qui a clamé aux quatre buffets avoir été la maîtresse du potelé à Alec Baldwin, époux d’une madame qui passe l’essentiel de ses veillées à passer la tondeuse comme ceci:

Au cours de ses nombreux passages sur le prestigieux plateau de Denis Lévesque, la Sabourin n’a jamais perdu l’étincelle, pareil comme quand a’ se pratiquait devant le miroir de sa cellule, le moment venu de faire récit de l’épopée carcérale où elle a dû dormir DANS SES EXCRÉMENTS:

« J’ai été forcée de dormir sur le sol durant trois jours au début de ma détention. J’étais couverte d’excréments! Et j’ai fait une crise cardiaque ».

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C’est bien connu; quand tu fais ton petit tas par terre, TU TE COUCHES DEDANS.

Y’en n’a pas, d’alternative. Y’en n’a pas, de Charmin.

Et ça, c’est avant qu’elle revienne sur le plateau de Lévesque pour nous expliquer qu’en plus de dormir dans sa marde, elle soupait aux carottes noires.

Pas des pas fermes. Pas des bébé-carottes. DES CAROTTES NOUÈRES COMME LES INTENTIONS DE VICTOR SAVARIA DANS DIVA.

Mais malgré la matière fécale et les lunchs déficients, Geneviève Sabourin a gardé le cap et n’a toujours fait qu’une chose et une seule: NIER.

Nier quoi, je le sais ben pas. Mais j’ai pris ma tévé en photo pour vous le prouver.

  1. LA KATHERINE ET SON FÉTICHISME DE L’ORTHOGRAPHE

Katherine Heigl. Fragile caille qui a quitté Grey’s Anatomy en se beurrant le fond de culottes et qui a la réputation d’être aussi agréable qu’une bouchée de sandwich drette dans la partie où il restait du foil.

C’est fâcheux. Mais on n’a pas envie de l’aimer.

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Eh bien la Katherine, dont on se remettra jamais de la performance-phare dans La fiancée de Chucky, a fait saillir une couple de veines dans son petit front soyeux, sur le plateau de tournage de la série State of Affairs, il y a quelques cycles lunaires de ça.

Épuisée par les heures à se faire faire des tresses françaises pour une scène où elle s’irriguait le rein à jouer ordinaire, la belle dame a eu le feu au cul en rentrant à sa loge. Oh, tasse-toi de d’là.

Absence de crème à gencives ou de panais coupés sur le biseau tel que prescrit? Que nenni.

Imaginez-vous donc qu’une petite assistante pas fûtée fûtée avait écrit son nom sur la porte de sa loge comme on écrit le nom d’une paysanne: AVEC PAS DE K PIS UN E EN TROP.

Catherine Heigle, qu’on pouvait lire.

HA! Laissez-moi vous dire que l’actrice a pas fait ni une, ni deux pour dire sa façon de penser à la petite assistante qui se balance désormais dans un coin de gymnase en serrant sa poupée Krusty très, très fort:

“ That is NOT my name! I’m the star and they can’t even get my name right? Are you f**king kidding me?! ”

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Un genre de « Don’t you know who I am??? », sans Mickey Mouse, mais avec une charge dramatique de type Super C.

L’histoire ne dit cependant rien sur le diamètre de la flaque d’urine qui est apparue entre les deux cannes tremblantes de la nouvelle petite assistante venue remplacer l’autre petite assistante désormais en proie aux filets à papillons, quand on lui a demandé d’inscrire le nom de l’actrice comme du monde sur des pétales de roses disposés en fuck you à côté d’un sac de crotte en feu sur le perron de Katherine-avec-un-K.

On me confirme toutefois que l’intérêt général pour Katherine Heigl n’a pas fluctué.

  1. LE PETIT VIN D’ARDOISE À CLAUDE

CLAUDE! Claude, Claude, Claude.

En juillet dernier, l’ex-conjoint de Crystal circulait paisiblement sur le pavé uni de Québec quand il s’est fait interpeler, chaud raide, après conduire son véhicule de courtoisie avec les fruits de son petit sac de chanteur assis sur la banquette arrière.

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SCANDALE! Trois toussotements dans la balloune plus tard, on lui passait les menottes, dans la plus grande confusion de sexagénaire aux cheveux spiky de young again à jamais avoir été captée près d’un Ashton.

La réaction de Claude? Parfaite:

« J’ai bu un vin blanc qui est de la Côte d’Ardoise. Vous savez pertinemment que si vous buvez un verre de vin et que vous prenez votre véhicule, vous êtes illégal. Il est arrivé trois voitures de police autour de moi. Ils m’ont fait faire un alcootest et m’ont mis les menottes. Ça m’a un peu fait freaker. »

Bon; Claude, ce gentleman, n’a pas pété de coche. IL A UN PEU FREAKÉ.

C’était pas sur une quille de robine, que Claude jivait. C’est sur un petit vin d’Ardoise, people. D’ARDOISE. Un petit blanc, ça ne pacte pas; ça donne du prestige à la prise d’empreintes. Et ça permet aussi de donner des explications qui ont pas de sens à Salut, Bonjour! pour te justifier le lendemain: « Tout le monde sait que vous êtes illégal quand vous êtes pactés ». Ben oui; tout le monde sait ça, Claude.

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Je fantasme grave sur le fait que Claude Dubois ne travaille présentement pas à un opéra rock sur La Strada. Qu’il est plutôt après écrire une opérette sur le petit vin d’ardoise et d’auditionner les danseurs funk qui se feront aller le cancan sur des hoods de chars de police cordés sur la scène du St-Denis, au son de la toune thème de l’œuvre: J’AI FREAKÉ.

Je vois déjà Brigitte Boisjoli pousser la note finale dans son rôle de policière qui ne croit plus au système judiciaire, main dans la main avec Claude dans la berline gris perle, avant de se jeter dans le canyon en faisant revoler des photos de Crystal.

  1. LE COUP DE POING DANS LES SEINS DE CHARLIE SHEEN (MAIS PAS LES SIENS)

Nulle star du grand Hollywood n’est à l’abri d’une vilaine carie sur la palette. N’y faisant pas exception, Charlie Sheen, qui s’est jamais remis de la naissance d’Emilio Estevez, s’est un jour présenté chez le dentiste.

Et aux États-Unis, on ne te pique pas la gencive pour te geler; on y va straight pipe avec le gaz hilarant (je ne m’y connais pas en gaz. Et ça, c’est une drôle d’affaire à écrire. J’ignore s’il s’agissait de gaz hilarant; du gaz qui donne l’endormitoire, là. Celui-là).

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Mais quelques secondes à peine après s’être empli les alvéoles avec ledit gaz, les pupilles de ce bon vieux Charlie se sont ouvertes sur les profondeurs de l’enfer et les petites filles mouillées se sont mises à sortir des tévés; il s’est rué sur l’hygiéniste dentaire en hurlant qu’il allait tuer tout le monde.

La réaction du personnel dentaire? Résinstaller doucement la vedette sur sa grand’ chaise longue ET LUI DONNER PLUS DE GAZ. J’imagine qu’on lui a aussi remis un gun et un set de nunchakus.

Toujours est-il qu’une fraction de seconde à peine après qu’on lui ait réinstallé le masque, Charlie a bondi de sa chaise pour administrer non pas un ballon dans la fourche, mais bien un coup de poing dans les seins de la technicienne, avant de cracher (et je n’invente rien) le pus de son abcès sur le mur d’en face.

La coulisse de pus a pas eu le temps de toucher le sol que les gardes du corps de Charlie faisaient déjà crisser les pneus de leur diligence, emmenant avec eux le client qui doit les rendre ben fiers, le soir, quand ils s’endorment en pleurant.

Ça fait que c’est pas mal ça.

La bise.

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PS TENDRESSE :: Geneviève Sabourin a quand même fait une crise cardiaque, pareil.

Vous en voulez plus? Alors vous devriez aller voir Les Nouveaux Sauvages, en salles dès maintenant.